L’iceberg de la Colère


La colère est une émotion naturelle par laquelle notre corps cherche à nous alerter dans une situation spécifique.

Le comportement qui va être engendrée par la colère est d’ailleurs censée déterminer l’issue de la situation quand la colère est légitime et exprimée sainement.

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Crédit Musique : « New evolution » par Teo

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La colère existe sur plusieurs niveaux et plusieurs spectres en fonction des individus et des situations et peut s’exprimer de plusieurs façons et avoir des causes différentes.

Bienvenus à tous sur Amour Créateur, je suis Rahma Coach thérapeute, j’accompagne les personnes à atteindre leurs objectifs en exploitant pleinement leur potentiel tout en prenant en compte l’éventuel présence du Syndrome de Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD).


Prendre conscience de la source de la colère et de son type s’avère être une étape importante pour apprendre à l’accueillir, l’écouter, répondre au besoin qu’elle exprime, la maîtriser voire la neutraliser.


12 Types de colère exprimée par les humains (Source principale : Carthage Buckley)

L’état de colère


La clé pour naviguer notre gamme de colère est de pouvoir la reconnaître et se donner les moyens de la traiter de manière efficace.

Être en capacité de transformer une réaction qui semble effrayante en une alliée avec laquelle nous pouvons travailler.


La colère une fois déclenchée est capable de provoquer cet incroyable influx d’énergie dans tout l’organisme.

Dans la perspective cognitive et neuroscientifique de la colère, notre cerveau par le biais de l’hypothalamus va libérer du cortisol et engager une réponse au stress de combat ou de fuite et mettre en veille les fonctions de raisonnement.

On peut identifier la colère comme un état de dérégulation nerveuse qui a pour objet d’apporter une réponse immédiate et automatique à une situation de stress, de menace, de danger, de frustration ou d’injustice.


Nous avons tous ressenti de la colère de manière plus ou moins intense avec tous les symptômes physiques de tension, d’accélération du rythme cardiaque, d’agitation, de confusion, de violence et de perte de contrôle.

Dans tous les cas, il semble préférable et important de ne pas ignorer la colère quand elle se manifeste et prendre le temps de l’apprivoiser, indépendamment du contexte, afin d’être en capacité de choisir une réponse adéquate et non impulsée dans une réaction à chaud et en mode automatique dont les conséquences peuvent être regrettables.


Que cache la colère ?


Outre l’identification de la colère comme une émotion et une réaction physiologique ayant plusieurs types, de nombreuses perspectives sont possibles pour aborder la colère et identifier les informations sous-jacentes qu’elle véhicule :

1. Une information ou une mémoire du subconscient qu’un aspect du système interne tente de communiquer : Une peur, une douleur, des attentes démesurées, un refus d’incarnation, de la tristesse (notamment pour les hommes dans un processus d’émotion racket).

Un manque de respect, de compréhension, d’amour, de confiance ou d’estime.

Un sentiment d’insécurité, d’impuissance, d’injustice, de rejet, de culpabilité, d’abandon, de honte, de haine, de culpabilité, de ressentiment, d’amertume, de vulnérabilité, de trahison, de déception, de solitude, de jalousie, etc.

Un état de faim, d’anxiété, de fatigue, de deuil, d’incompréhension, de confusion (ma colère ou celle des autres).


2. Une émotion qui tente de poser des limites face à un non respect des limites, une injustice, une victimisation (abus ou maltraitance) ou une perte et nous indique justement le comportement nécessaire pour se protéger ou se défendre.

3. Vigilance sur les aspects racket d’une émotion. Il est fréquent qu’un homme exprime de la colère en lieu et place de la tristesse et une femme de la tristesse à la place de la colère.


4. La colère nécessite un exutoire verbal, écrit, somatique ou comportemental sain pour permettre la régulation : observation, écriture, respiration, discipline sportive comme les arts martiaux ou la boxe.

5. Dans quel contexte est exprimée la colère : Étape de deuil, moyen de sortir de la dépression, tension accumulée, état de dérégulation ou réponse saine face à une injustice ou une violation des limites.

6. Peut être transmutée en énergie neutre comme un carburant pour aller dans une dynamique constructive vs destructive.

7. Stress Post Traumatique Complexe CPTSD et le critique interne (honte et culpabilité) ou la colonisation par l’agresseur.


La colère si elle n’est pas correctement abordée peut endommager notre santé, notre estime, la confiance, nos relations, notre façon d’opérer dans le monde et la clarté nécessaire pour prendre des décisions constructives.

L’iceberg de la colère


Quelques outils


La colère dans son aspect impulsif, relationnel et porteur de message nécessite certaines compétences et ressources pour en faire une allié de son évolution et/ou de sa guérison.


Dans le cas où la colère devient un frein à notre épanouissement physiologique, personnel, relationnel ou professionnel, il convient de savoir qu’il existe des outils et des solutions qui ont fait leur preuves pour :


. La maîtrise des impulsions

. La restructuration cognitive,
. Des techniques de relaxation,
. La résolution de problèmes et de conflits,
. Une communication bienveillante et constructive,
. Une bonne gestion du stress,
. Une bonne connaissance de soi, notamment par l’accompagnement par le coaching, la thérapie et le conseil.

Pour commencer de manière autonome, l’auto questionnement s’avère un outil pertinent qui permet de sourcer la cause de la colère et identifier le message transmis par notre système interne.


Ce type d’exercice va permettre de prendre du recul et ne pas s’identifier avec la colère ressentie et ainsi éviter de se juger durement et se culpabiliser en s’étiquetant comme une mauvaise personne.


La colère est à considérer comme une réponse normale et légitime. Seuls les comportements violents et destructeurs qui peuvent être induits ne sont ni justifiés ni légitimes.

Une bonne estime de soi est à la base de la régulation et la maîtrise de la colère ainsi que de nombreuses problématiques par ailleurs.

Par conséquent, se rappeler que je suis ok pendant que je ressens la colère aide à prendre une posture d’observation neutre et détachée oú aucun jugement ni critique ne sont assignés.


Étapes, objectifs et moyen de l’auto questionnement :


Quelques exemple de questions :

  1. Qu’est ce qui a déclenché cette réaction de colère ? Factuel ? Perceptuel ? Relationnel ? Voir Schéma Iceberg de la Colère.
  2. Ai-je des attentes non exprimées ?
  3. Quel est le type de déclencheur et quels sont les signes précurseurs ? Mental, relationnel, physique, émotionnel…
  4. Quelles sensations physiques accompagnent cette colère ?
  5. Quelle histoire je me raconte ?
  6. Est-ce véritablement de la colère que je ressens ? Comment se manifeste t’elle ?
  7. En quoi cette colère m’aide ou me dessert ?
  8. Existe t’il des bénéfices secondaires à cette colère ?
  9. Existe t’il des solutions à la cause de la colère ?
  10. Comment je peux changer de perspective et restructurer ma représentation pour prendre du recul, me désidentifier de la colère et ne rien prendre personnellement ?
  11. Comment je peux communiquer positivement ma colère en prenant la responsabilité de mes ressentis ? avec l’aide d’un journal de bord, d’un ami, un thérapeute, etc.
  12. Quels changements concrets je peux faire dans mon environnement (relations, lieu, pensées, habitudes….) pour limiter les sources de stress qui me mettent en colère ?
  13. Quelles pratiques physiques ou sportives je peux exercer ou faire différemment pour offrir un exutoire ou un carburant de l’énergie rendue disponible par la colère ?
  14. Comment puis-je y mettre de la légèreté en relativisant ? par exemple, en imaginant raconter ce que je vis dans un futur lointain ou l’humour.
  15. Comment développer une routine quotidienne de soin de soi et de relaxation ?

Je vous propose pour finir ce questionnement :

Si la colère n’était plus un problème qu’est ce que cela changerait il concrètement dans votre vie ?


Ne prenez que ce qui fait sens et sert votre évolution et laissez aller le reste.


Avec Amour

États d’être, Chemin de vie & Trauma

En quoi un trauma peut-il autant affecter notre être et notre vie ?

Avez vous déjà entendu parler de Stress post Traumatique Complexe ?

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Le trauma est universel et ses effets sont parfois inattendus et imperceptibles.

Un trauma dans son acception psychologique n’est pas défini par un événement vécu mais par l’expérience subjective de l’individu et sa capacité à y faire face.

L’étymologie grecque du mot « trauma » signifie « blessure ».

Tout être vivant est susceptible de vivre des traumas. Néanmoins, tout le monde n’expérimente pas forcément des effets post traumatiques, appelés Syndrome du Stress Post Traumatique (SSPT) en anglais PTSD.

Le trauma et ses effets sont le résultat d’une réaction/adaptation normale, d’un individu normal confronté à des circonstances anormales.

Il s’agit d’un ensemble de mécanismes de protection et de défense ponctuels utiles à la survie (réelle ou perçue) au moment du trauma et qui ne sont pas censés perdurer ou être à nouveau déclenchés dans des situations sans danger mais qui rappellent le trauma.

Outre les deux catégories de trauma : simple ou complexe, il existe plusieurs types de trauma et cette liste est malheureusement loin d’être exhaustive : Traumatisme de choc, traumatisme émotionnel, psychique, collectif, racial, culturel, transgénérationnel, embryonnaire, de naissance et de développement (abus, maltraitance, négligence ou excès dans l’enfance et l’adolescence ).

Le trauma dit simple intervient dans le cadre d’un événement traumatique ponctuel et le trauma complexe dans le cadre d’une exposition au trauma sur un long terme.

Bienvenus à tous sur Amour Créateur, je suis Rahma Coach thérapeute, j’accompagne les personnes à atteindre leurs objectifs en exploitant pleinement leur potentiel tout en prenant en compte l’éventuel présence du Syndrome de Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD).

En ce sens, je m’appuies sur ma propre expérience d’enfance difficile et de CPTSD pour partager des outils et un contexte qui ont fait leurs preuves et qui sont rarement pris en compte dans les processus de coaching de vie.

Syndrome du Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD) et enfance difficile

Le Syndrome du Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD) concernent les traumas chroniques, répétés sur un long terme.

Il concerne les traumas de l’enfance mais peuvent aussi apparaître quand un trauma ponctuel dans le passé ou intergénérationnel n’est pas correctement traité et en génère d’autres (trauma secondaire).

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Plusieurs événements dans la vie d’un enfant peuvent constituer un trauma, générer des SSPTc / cPTSD et laisser des séquelles :

Séparation des parents / absence d’un parent : décès, incarcération, maladie grave, maladie mentale, abandon, etc.

Expériences douloureuses : Accident, maladie, décès d’un proche, handicap, pauvreté, immigration, marginalisation, harcèlement, exposition à la violence, etc.

Dysfonctionnements dans la famille : alcoolisme ou autres addictions des figures parentales, comportements criminels, incarcération, abus, maltraitance, parentalisation de l’enfant, codependence, négligence, surprotection, etc.

Maladie mentale : Troubles anxieux, bipolaires, dissociatifs, de la personnalité, obsessionnels, somatiques, schizophrénie, etc.

Et aussi quand les figures parentales souffrent de SSPTc / cPTSD et le transmettent aux générations suivantes.

Les effets du trauma de l’enfance ont plusieurs conséquences tangibles notamment de blessures neurologiques et peuvent altérer un certains nombre d’aspects de notre vie et ainsi amener de nombreux déséquilibres.

En effet, la présence de SSPTc / cPTSD va impacter nos choix, notre attitude, nos orientations, nos intentions et motivations, notre physiologie, notre santé, notre volonté, notre raisonnement, nos relations, notre niveau d’énergie, etc.

Tout cela peut malheureusement impacter négativement une vie entière.

Tous les aspects de notre vie deviennent sévèrement impactés, pollués et piratés par le trauma et ses effets qui nous privent d’une vie heureuse.

Pour plus d’informations à ce sujet, je vous invite à découvrir l’étude ACE (Adverse Childhood Experiences / Expériences Négatives de l’Enfance) qui a étudié les effets cumulatifs à long terme des traumatismes dans l’enfance et des dysfonctionnements dans la famille, sur la santé et la qualité de la vie à l’âge adulte.

Le schéma ci dessous présentant les conséquences de l’exposition à la violence et aux abus est tristement éloquent.

Source

Vous trouverez toutes les informations relatives à l’étude ACE traduite en français par le site « face à l’inceste ».

Un enfant ayant été privé de ses droits et besoins fondamentaux verra son processus naturel de développement interrompu et souffrira, outre la blessure neurologique, de blessure relationnelle et de blessure narcissique.

Les symptômes du Syndrome de Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD) et multidimensionnel sont par nature auto-renforcés, auto-amplifiés et auto-justifiés, ce qui rend difficile, voir impossible d’en percevoir les effets sans une connaissance de leurs mécanismes, une profonde introspection et/ou l’aide d’un point de vue extérieur aguerri.

La blessure neurologique induite par des états de stress prolongés va affecter les fonctions du cerveau, du Système Nerveux Central (SNC) et toute la chimie du corps affectant ainsi la physiologie dans son ensemble.

Un déséquilibre dans la chimie du corps affecte le métabolisme, les cycles circadiens, la stabilité émotionnelle, la capacité d’apprentissage, d’expression, de créativité, de mémorisation, de concentration, d’attention, d’orientation dans le temps et l’espace, affaiblit le système immunitaire et altère l’ADN.

Certaines fonctions cognitives vont être complètement affectées et l’individu se retrouve constamment déclenché dans des états de dérégulation.


Un passé récurrent

La personne souffrant de SSPTc / cPTSD se retrouve piégée dans le passé dans une roue de hamster à toujours être en fuite sans jamais résoudre ou sortir du trauma initial.

En somme, ce qui nous a sauvé par le passé, nous empêche d’être authentique et épanoui dans le présent.

Si les effets du trauma ne sont pas correctement pris en charge, l’individu bloqué dans son passé et dans la compulsion de répétition se retrouve à recréer et revivre la même souffrance muette des événements traumatisants récurrents dans l’incompréhension, la honte, la culpabilité, la solitude, la dévastation, l’impuissance et parfois la démence.

Dans certains cas, l’individu peut se créer une illusion en essayant d’atteindre une perfection perçue pour fuir une réalité douloureuse et renforcer le stress par un besoin de contrôle exacerbé.

États d’être et Pseudo soi

Les personnes souffrant des effets insidieux du trauma sont dépossédées à leur insu de leur capacité d’autodétermination, de créativité, de leur singularité, de leur libre arbitre et d’une vie apaisée, heureuse et épanouie parfois sans même en avoir conscience ! Privées de leur droit fondamental de vivre l’amour et d’être détendues.

Une déconstruction des mécanismes de survie du passé est nécessaire pour se libérer d’une structure inerte bloquante et ainsi continuer à s’épanouir et prospérer, au risque de vivre prisonniers dans une solitude déchirante au fin fond de notre être, pris en otage par une fausse identité : le soi esclave, le soi conditionné, le soi fracturé, le soi blessé, le soi prostitué ou le soi victime en perpétuelle frénésie pour trouver à l’extérieur un remède à son mal être.

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Nous incarnons alors un pseudo soi basé parfois sur le rôle attribué dans l’enfance par la famille biologique dysfonctionnelle.

La construction identitaire devient alors fragile car elle est principalement orientée sur le jugement et la perception de l’extérieur en attente de gratification, de reconnaissance et de validation.

Par ailleurs, Interagir avec son environnement sur la base d’une fausse identité va favoriser des attachements traumatiques aux fausses identités des autres, autrement dit des faux amis, créant ainsi des relations toxiques et des drames qui vont renforcer le trauma.

Comment un être piloté par son environnement extérieur peut se sentir souverain, apaisé, en sécurité et s’épanouir ?


La guérison est possible

Il existe des solutions pour remédier aux effets du Stress Post Traumatique complexe (SSPTc / cPTSD ).

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Il est possible d’entamer un processus d’épanouissement et de reconnexion à soi tout en se débarrassant de comportements et de croyances limitantes et auto-destructives.

Passer d’un état de survie à un état de souveraineté et d’épanouissement. Cela demande un engagement ferme et conscient pour des retombées positives.

Une piste qui s’avère constructive consiste donc à tout déconstruire et réapprendre en s’appuyant sur notre capacité de résilience et de neuroplasticité et ainsi ne plus avoir à choisir entre les deux besoins fondamentaux humains : incarner son être authentique et avoir des relations affectives saines.

Pour cela une approche holistique est nécessaire pour identifier et traiter des impacts sur plusieurs plans : somatique, psychique, relationnel, émotionnel, mental, spirituel, cognitif, psychomoteur, psychosensoriel, physiologique, métabolique et hormonal.

L’approche doit prendre en compte les quatre axes : PHYSIQUE / MENTAL / ÉMOTIONNEL / SPIRITUEL

Dans tous les cas le pouvoir de guérison et de rétablissement réside dans le moment présent à l’aide d’outils qui aident à neutraliser les symptômes de dérégulation sur une base régulière.

Ces pratiques quotidiennes vont immédiatement apporter du soulagement, la récupération de son pouvoir personnel tout en identifiant précisément la manière dont se manifestent les SSPTc / cPTSD pour mieux naviguer sa vie.


Changement de paradigme

Changer de perspectives sur l’approche des SSPTc / cPTSD est un prérequis pour des résultats positifs :

  1. Il est clairement établi qu’une approche s’appuyant seulement sur la narration des événements traumatiques n’aide pas pour plusieurs raisons : la première étant que le cerveau blessé ne trouvera pas de résolution dans son état altéré. Ensuite, nous savons maintenant que le corps garde la mémoire des faits et une approche somatique est plus appropriée. Pour finir, le trauma pour ceux qui l’ont vécu, s’apparente à un vortex dans lequel une fois ouvert par la parole peut nous aspirer dans des flashbacks parfois pour longtemps.
  2. Il est impossible de déléguer son travail d’introspection et il est illusoire de croire que la justice ou les coupables vont permettre la guérison à eux seuls, même s’ils y contribuent.
  3. Les personnes traumatisées ne sont pas déficientes ou défectueuses mais elles ont bel et bien subi une blessure neurologique avec des dommages et des symptômes. La communauté professionnelle spécialisée dans l’approche du trauma n’est pas standardisée dans les critères d’établissement d’un diagnostic ou dans la nature des traitements. D’ailleurs, les pratiques ne sont pas forcément mises à jour avec les dernières recherches. Certains pionniers considèrent que les effets du trauma sont des adaptations naturelles qui nécessitent une déconstruction, là où la pathologisation poussée serait préjudiciable au rétablissement.
  4. Développer son caractère et prendre soin de soi comme son propre parent est primordial dans la mesure où le trauma est une blessure de développement pour laquelle une rééducation est nécessaire.
  5. Réapprendre les bases de la socialisation dans la mesure où les SSPTc / cPTSD issues d’une blessure relationnelle endommagent notre capacité à se connecter aux autres. L’ironie est que des relations saines et aimantes sont nécessaires et très aidantes mais difficilement possibles en raison des comportements auto-destructeurs et des schémas transactionnels défectueux acquis. Hélas, les relations toxiques induites par le SSPTc / cPTSD peuvent être dévastatrices ! Il devient donc important de développer une éducation morale et une éthique pour se recréer et neutraliser la colonisation intérieure par l’opresseur.
  6. Le trauma n’est pas une identité. Le trauma est une blessure qui nécessite de la compassion, une mise en action, du soin, de l’amour, de la diligence et la patience d’un archéologue pour obtenir le rétablissement par le pouvoir de sa propre conscience. Ce que nous manifestons dans la matière provient de l’être que nous incarnons en résonance avec les croyances associées.

QUE CE SOIT CLAIR : Si comme moi vous avez été victime d’une enfance difficile et reconnaissez en vous des SSPTc / cPTSD sachez que ce n’est pas de votre faute, que vous ne méritez rien de tout cela et qu’une vie épanouie est possible.

Pour finir, je vous partage mon ressenti que dans de trop nombreux cas, le trauma semble intentionnel car il s’avère être un parfait levier de contrôle et de manipulation, notamment des foules.

Par exemple :

. Le grooming et son long processus de préparation à l’acceptation de l’inacceptable.

. Les opérations sous faux drapeau.

. Les crises économiques et état de survie des classes moyennes.

. Opérations MK ultra.

. La stratégie du choc conceptualisée par Naomie Klein.

. Les principes Pavloviens surinvestis en marketing.

. La surexposition à la violence.

. La technique courante et rentable de neuromarketing « stimuli-réponse » empruntée aux neurosciences  : Problème (crée volontairement) – Réaction (de peur) – Solution (prévue en amont et inadéquate mais rentable ).

. L’ingénierie sociale par la peur.

. La déconstruction de la communauté sociale et du noyau familial et la protection qu’ils offrent.

. Les programmes de déception en tous genres.

. Les pertes de repères moraux et la dépravation normalisée.

. Le déclenchement de guerres pour des intérêts géopolitiques.

. Des pratiques et traditions culturelles, institutionnelles ou religieuses parfois occultes.

. Des sociétés de plus en plus centralisées, surveillées, coercitives, totalitaires, répressives et déshumanisantes.

. Etc.

Cela peut expliquer en partie l’augmentation du nombre de personnes souffrant de SSPTc / cPTSD.

Je vous remercie pour votre attention jusqu’ici, en espérant que cela vous apporte plus de clarté.

Je vous dis à bientôt avec cette question :

Si vous deviez placer vos intérêts les plus élevés en priorité, que feriez vous différemment dès maintenant ?

Ne prenez que ce qui résonne en vous et sert votre évolution et laissez aller le reste.

Avec Amour

Avertissement :

Cet article n’a aucun but thérapeutique ou diagnostique et ne se substitue en aucun cas à un accompagnement avec un professionnel de la santé mentale.

Si vous avez survécu à des traumas et souffrez de CPTSD, faîtes appel à un professionnel ayant une expérience clinique significative dans la guérison des traumas.

En tant que coach, mon rôle est de vous accompagner à l’identification et l’atteinte de vos objectifs en prenant en compte les aspects et symptômes limitants du SSPTc / cPTSD.

Désillusion

Bienvenus sur Amour Créateur,

Je suis Rahma Coach Thérapeute

Je suis ravie de vous retrouver en ce début d’année et j’en profite pour vous présenter mes meilleurs vœux du cœur pour 2024 en souhaitant à tous un plein épanouissement dans l’alignement et l’ancrage de votre essence originelle radieuse et pleinement créatrice.

L’année 2023 a personnellement été marquée par de nombreux défis et bouleversements qui m’ont amené à remettre en question ma façon d’appréhender ma vie et le monde.

Des occasions certes inconfortables dans des états extrêmes de vulnérabilité mais in fine très bénéfiques pour incarner un peu plus d’authenticité et par suite logique voir des changements très positifs dans mon quotidien.

Aujourd’hui et après mon dernier article « Le choix de la vérité » j’aborde la thématique de la désillusion.

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Vérité et désillusion deux faces d’une même pièce.

La Vérité débouche sur de la sagesse, du sens et de l’apaisement. Quant à la désillusion, elle nous embarque dans le chaos, une grande déstabilisation et un douloureux processus de deuil.

Accéder à la Vérité nous fait inévitablement vivre une forme de désillusion autrement dit, constater que la réalité est différente de ce qui a été adopté jusqu’alors.

Sortir de l’illusion nous plonge directement dans des sentiments inconfortables et des émotions très vives.  Et cela, peu importe si l’illusion, le mensonge ou l’escroquerie soit créée par soi et/ou les autres.

Nous nous retrouvons immanquablement confrontés à la douleur familière et récurrente de blessures profondes de trahison et de déception où le mensonge à fait des dégâts dans nos perceptions, nos décisions et nos orientations de vie.

Cette étape de désillusion, bien que passagère, met tout notre organisme dans état extrême de d’agitation, de grande solitude et de dépression.

Elle s’apparente à une énorme crise d’angoisse ou toute capacité de recul et de raisonnement est annihilée dans un état de sidération et de panique.

Sans une compréhension du processus de deuil, sans les outils adéquats, sans les clés de compréhension de notre fonctionnement ou encore l’accompagnement bienveillant d’une personne mature et de confiance, il est aisé de succomber aux mêmes mécanismes de défense de l’ego du passé.

Notre système de survie via ses automatismes aura tendance à nous orienter vers quelque chose de familier et connu, même si cela est toxique ou destructeur, plutôt que de s’aventurer vers quelque chose de nouveau et inconnu bien que plus constructif et épanouissant.

Survie ou deuil

Dans une tentative désespérée de survie et pour maintenir les mêmes repères, notre ego choisit de manière automatisé le déni, l’anesthésie, l’évitement, le transfert de blâme et la fuite et ainsi recréer une nouvelle illusion tout en développant des addictions pour soulager la tension et la pression ressentie.

Les addictions qui trouvent leur source dans une division ou un clivage de soi peuvent être de toutes formes : addiction à une substance, à un processus (activités, habitudes…) ou même à une personne notamment dans le cadre des transactions interpersonnelles visant à obtenir un approvisionnement narcissique qui va favoriser une sur adaptation en créant des sous personnalités.

Tous ces mécanismes de défense de l’ego aboutissent à la création d’illusion et par conséquent un éloignement de la vérité, condition sine qua none de la guérison, la souveraineté et l’intégrité.

Les blessures, les traumas, les abus, les négligences tels qu’ils ont été appréhendés dans le passé, notamment la période fragile de construction identitaire, peuvent nous affecter dans tous les aspects de notre vie à travers nos croyances, nos distorsions et dissonances cognitives, les styles d’attachement développés, notre capacité à définir et exprimer nos besoins et nos limites, entre autres.

Nous semblons tous plus ou moins expérimenter la blessure narcissique due en partie à l’absence du processus d’individuation qui nécessite une acceptation et un amour absolue et inconditionnel de notre être.

Nous avons donc recours à la création d’une illusion qui aura pour objectif de donner et maintenir un sens à notre identité et au monde qui nous entoure, pour échapper au néant perçu comme une mort par notre système.

Nous vivons tous plus ou moins dans une illusion imperceptible constamment bousculée et recrée qui peut parfois être partagée avec d’autres.

Plus concrètement, nous pouvons inconsciemment créer une illusion par le biais d’une partie de soi blessée qui cherche désespérément à combler un déficit affectif et échapper à l’enfer de la solitude et de la souffrance.

Par ailleurs, une illusion peut être vue et vite s’effondrer suite à un événement traumatique que peuvent être par exemple, le diagnostic d’une maladie, la perte d’un être cher, un accident, une séparation, un adultère, une escroquerie, la découverte d’un secret de famille, etc.

L’un des dangers de créer et vivre dans une illusion est que cela va nuire à nos perceptions et notre système nerveux central en les forçant à fonctionner de manière inversée.

De plus, ces illusions demandent un important déploiement d’énergie et de contrôle qui va déréguler et affaiblir tout l’organisme via un Système Nerveux Central (SNC) en état de stress chronique, et ainsi nous pousser à trouver de l’énergie à l’extérieur via la codépendance ou du vampirisme.

L’illusion est donc construite sur la base d’une souffrance et/ou d’une peur où le système est mobilisé dans son ensemble pour défendre et maintenir cette illusion dans l’objectif vain d’occulter la souffrance sous-jacente ou fuir une réalité menaçante.

L’illusion est par définition instable puisqu’elle est érigée sur des fondations vulnérables. Ce processus ne résout, ni n’élimine la souffrance qui reste présente dans le subconscient et engrammée au niveau cellulaire et nerveux.

Par conséquent, les illusions génèrent une insatisfaction permanente tant que l’origine du mal-être n’est pas identifiée et adressée.

Une illusion est par définition un dysfonctionnement inorganique est destructif à terme, il s’agit d’une construction mentale figée auto-justifiée et auto-alimentée pour maintenir le Status-Quo, autrement dit une stagnation, synonyme de non évolution.

Rien dans la création vivante n’est jamais en stagnation. La stagnation induite par l’illusion implique l’inertie et l’entropie certaine d’un système.

Ces fixations mentales affectent les pensées, les croyances, les émotions, le comportement et le système dans son ensemble.

Une Illusion peut se manifester de manières différentes : porter un masque, adopter un consensus sans esprit critique, absence de remise en question, se conformer à des attentes extérieures, être en relation intime sur la base de fausses identités, adopter une attitude et une personnalité différente en fonction du cadre, en intimité et en société, une dissonance interne, des désordres de la personnalité, de l’identité et du comportement type narcissique, schizoïde ou bipolaire voir des psychoses individuelles ou de masses.

Le rôle de la peur

La peur est une émotion naturelle qui a sa raison d’être pour la protection et la survie d’un être humain. Elle se déclenche en cas de danger réel ou perçu pour permettre à l’organisme de mobiliser toutes ses ressources pour se protéger.

La peur enclenche un processus physiologique de gestion du stress induit par trois réponses adaptatives : Combat, Fuite ou Immobilisation.

Toutes les sources de stress internes ou externes déclenchent ces réactions où l’organisme va mettre en veille toutes les autres fonctions pour se concentrer sur la survie. Cela vient donc impacter, le système immunitaire, le métabolisme, les fonctions cognitives de mémorisation, d’apprentissage et même de relation au temps et aux autres, etc.

Cette vidéo illustre simplement et parfaitement bien le fonctionnement du Système nerveux central face au stress notamment post traumatique.

La peur peut être assimilée à un état de survie que le danger soit réel ou perçu. Une personne qui à peur du regard des autres ou la peur d’échouer par exemple, développera la même réponse adaptative au stress qu’une personne face à un danger réel conduisant ainsi à des états de stress chroniques.

La peur enclenche une réaction, un mécanisme de protection, de défense ou de contrôle qui à son tour va créer des filtres qui vont distordre la réalité et aboutir à la création d’une illusion.

Cette illusion va naturellement induire le besoin de contrôler et manipuler pour la maintenir et y amener toute personne interagissant avec nous.

Vivre dans une illusion s’apparente à être bloqué dans les même boucles et schémas répétitifs comme dans un film réalisé par quelqu’un d’autre que soi où nous sommes obligés de jouer le même rôle, dans le même décor et avec le même scénario.

De la désillusion à la Résilience

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En toute logique, pour créer une nouvelle réalité congruente et prospère, l’illusion doit s’effondrer.

Voir l’illusion veut dire voir et faire face aux dommages crées par cette illusion. Cela peut amener à des réactions extrêmes de dévastation, de confusion et de colère voire de rage.

Pourtant ce constat va demander beaucoup de douceur, de patience et d’ancrage pour traverser avec confiance les étapes inconfortables du deuil et la perte de repères.

Cela est certes vécu comme une fin voire une mort mais une renaissance et un nouveau commencement est possible dans le plein épanouissement avec une sagesse nouvellement acquise et qui sera l’allié de tous les défis à venir.

Prendre ses responsabilités et mettre de la conscience en lieu et place des automatismes fera une énorme différence dans l’issue de cette crise profonde qui je le rappelle est passagère.

Finalement, le mal-être passager induit par la désillusion est bénéfique car la crise d’angoisse et tous les autres symptômes ne sont que des tentatives de notre organisme de se libérer de ce qui n’est pas bénéfique, vrai, authentique ou congruent.

Le monde est instable et le futur nous réserve quelques surprises, des révélations et certainement des désillusions où nous pouvons perdre pied et être déclenchés dans des blessures profondes de trahison susceptibles de générer malheureusement beaucoup de violence et de division.

Il existe des outils pour naviguer au mieux dans le calme, la neutralité, l’observation et la compassion, ne restez pas seul et chercher du soutien si nécessaire.

Un fois dépassée, cette étape qui s’apparente à une petite mort, nous renaissons littéralement plus léger, plus fort, plus confiant en se demandant comment nous avons fait pour ne pas voir la supercherie et surtout prêt à relever tous nouveau défi offrant à la clé sagesse et connaissance.

Prenez soin de vous et restez à l’écoute de ce qui émerge en vous pour vous libérer de choses obsolètes et renaître plus confiant, plus puissant et plus heureux.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Je vous remercie pour votre écoute et votre présence et je vous dis à bientôt.

En Unité et avec Amour

Le Choix de la Vérité

Bienvenus sur Amour Créateur.

Mon intention ici et de partager une prise de conscience sur l’importance de la vérité dans tout processus de changement et d’évolution.

Le concept même de vérité fait l’objet de nombreuses tergiversations notamment provenant de courants intellectuels qui sous couvert de liberté d’expression donne une définition de la vérité qui arrange et valide une vérité subjective ou non éprouvée.

Pourtant, la vérité pour être perçue dans son état brut sans distorsions, demande l’ouverture d’esprit d’un chercheur qui observe avec neutralité, hauteur et impartialité sans se précipiter à tirer des conclusions ou confirmer sa propre théorie de manière biaisée.

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Vérité ou Consensus ?

La majorité d’entre nous vivons dans la confusion créée par les normes sociétales et divers dogmes et ne savons plus hélas faire la différence entre vérité et consensus.

Pour illustrer mon propos, prenons pour exemple la science académique telle que développée dans nos sociétés modernes. Peu de personnes semblent avoir conscience que la « Science » qui régit beaucoup d’aspects de notre civilisation et de notre quotidien de citoyen est basée initialement sur des conventions qui si elles ne sont pas mises à jour s’imposent en dogmes.

Il est assez déconcertant d’observer l’inertie de nombreux consensus devenus obsolètes face aux dernières découvertes et mises en lumière.

Par exemple, saviez vous que les diamants, le pétrole et l’eau ne sont pas rares mais présents en abondance ? Avec vous entendu parler de la théorie du terrain vs la théorie du germe ? de l’ingénierie sociale, la programmation prédictive , le contrôle mental ? Je vous laisse à vos casquettes de chercheurs.

En ce sens, Il existe bel et bien un formatage issu de la pensée matérialiste dominante qui perd toute crédibilité devant les nouvelles compréhensions quantiques sans jamais chercher de réelle remise en question au risque de voir s’effondrer de nombreuses fondations et sources d’intérêts.

Bruce Lipton, Phd Biologiste cellulaire, conférencier et auteur mondialement reconnu en fait l’explication de manière éloquente dans ce schéma qui compare les mythes fondateurs de la science conventionnelle (autrement dit ayant fait l’objet de conventions) et les nouveaux mythes actualisés par les dernières avancées et qui pourraient impacter de manière bénéfiques nos pratiques dans plusieurs domaines.

Vérité et perceptions

Je ne prétends pas définir ce qu’est la Vérité, néanmoins à des fins de clarification, je vous partage comment j’appréhende le concept de Vérité à partir de ma perspective actuelle dans mon cheminement personnel.

La Vérité à mon sens a deux faces inséparables : la Vérité absolue et la vérité subjective ou relative.

La Vérité n’est rien d’autre que la réalité telle qu’elle existe. Pour appréhender cette dite réalité la perspective d’un observateur est nécessaire.

Là où les choses deviennent complexes bien qu’évidentes, c’est qu’il n’est possible d’interagir avec la réalité de ce qui est qu’au travers de nos perceptions.

Pour percevoir, il faut expérimenter dans un premier temps, puis accueillir sans filtres et enfin ressentir une validation interne tangible, une évidence. La vérité ne se limite donc pas un processus intellectuel linéaire mais réside dans une expérience perceptuelle.

Par exemple, ce principe peut s’appliquer à une vérité indéniable et commune à tous les êtres humains dans notre besoin de respirer pour vivre.

Nos perceptions en tant qu’êtres humains sont un ensemble d’organes, de systèmes, de mécanismes et de processus de réception, d’échange et de traitement des signaux par lesquels notre organisme va appréhender son environnement.

Nous sommes donc constamment impactés de manière consciente et inconsciente, tangible et subtile par notre environnement sociétal, culturel, naturel, familial, ancestral, collectif, électromagnétique, énergétique et d’autres influences imperceptibles parfois à nos sens.

Outre le fait que la réalité ne se limite pas à nos perceptions, nos motivations et nos intentions ont elles aussi une influence importante sur notre capacité à percevoir la réalité ou la vérité en créant par exemple des biais cognitifs.

Ces mêmes perceptions qui ne sont pas forcément neutres et parfois distordues par nos filtres viennent influencer notre système de croyance qui à son tour va influencer nos actions puis nos décisions dans nos choix de vie.

La Vérité relative est la réalité telle qu’elle est perçue sur le moment à condition d’avoir une vraie intention de voir la Vérité et que notre perception de la réalité ne soit pas manipulée par l’extérieur par un quelconque contrôle mental, contrôle de la culture ou des systèmes de croyance.

La Vérité absolue quant à elle ne peut pas être appréhendée par notre identité égotique construite limitée et cette Vérité est l’expression des lois naturelles qui régissent les multiples univers et réalités.

La Vérité relative ou la vérité absolue est donc appréhendée en fonction de la perspective : limitée ou illimitée, figée ou évolutive, fermée ou ouverte, polarisée ou neutre, etc.

Nos perceptions sont bel et bien contrôlées de sorte qu’un unique événement vécu par plusieurs individus se verra expérimenté et décliné en plusieurs versions de la réalité subjective de chacun.

Toutes ces influencent peuvent nous priver de la capacité d’évaluer précisément ce que nous expérimentons.

La vérité ne s’impose pas par une autorité extérieure, elle se vit.

En quoi la vérité est-elle importante dans un processus d’évolution ?

La vérité a plusieurs synonymes en fonction du cadre : authenticité, intégrité, transparence, loi, principe, fait, naturel, sincérité, franchise, justesse, fidélité.

Apprendre à se connaitre, développer un esprit critique et sortir du conformisme conduit à rejeter le mensonge et naturellement expérimenter la vérité nous offrant ainsi une meilleure capacité de discernement.

La volonté de l’ego de se protéger et de ne pas souffrir peut parfois être en contradiction avec le choix de la vérité. Pour cette raison, bien que nous puissions être dans une intention sincère de voir la vérité, le déni en tant que mécanisme de protection peut être plus fort.

Plusieurs raisons conscientes ou inconscientes peuvent nous pousser à choisir le déni au lieu de la vérité. La peur en est l’une d’entre elles : la peur de souffrir, de perdre quelque chose, d’être rejeté, stigmatisé, de changer, peur du chaos, la perte de repères, et bien d’autres.

Une autre raison repose sur les mensonges via les croyances construites sur la base de mauvaises interprétations ou de blessures du passé qui nécessite un démantèlement.

Or, pour entamer un quelconque changement il convient de faire un état des lieux pour avoir une carte conforme à la réalité au risque de tourner en rond, s’épuiser, renforcer les dysfonctionnements et se décourager.

Si je souhaite par exemple avoir une vie sociale et que j’occulte une habitude de critiquer (introverti, fuyant, inconsistant, etc. ) toutes les activités me permettant de me faire des nouveaux amis risquent d’échouer si je n’admets pas cette vérité pour ensuite la solutionner.

Bien sûr, il est important de rester neutre et ne rien juger en soi pour être capable de voir la vérité telle qu’elle est sur le moment et ainsi être dans l’acceptation de ce qui est.

Dans l’exemple présent, comprendre qu’une habitude de critiquer est à la fois une distorsion et un mécanisme de défense ou de protection qui prend sa source dans le passé qui peut tout à fait être corrigé.

Il semble donc impératif de voir la vérité pour changer.

Vérité et pouvoir personnel

La vérité outre la qualité morale qu’elle représente ne serait-ce que par le courage nécessaire pour l’accueillir qu’elle soit agréable ou difficile est à appréhender d’un point de vue stratégique d’efficience.

Le libre arbitre ainsi que notre responsabilité individuelle s’appliquent dans notre choix de chercher activement la vérité ou de consentir au mensonge.

Croire ou pratiquer le mensonge manipule notre consentement et nous rend consubstantiels à des effets délétères tout en nous privant progressivement de la capacité à identifier les mensonges de la vérité qui nous rend ainsi susceptible à la manipulation, la déception et la trahison.

Malheureusement, cela contribue à brouiller notre discernement et nous embarque dans une ligne de vie inorganique d’asservissement et de souffrance.

La vérité ici va donc servir à connaitre et incarner l’être authentique, tel qu’il existe dans sa profondeur, libéré de toute influence extérieure et doté de son pouvoir personnel originel.

L’être authentique n’est pas une version figée de soi qu’une autorité extérieure peut définir. Il convient de l’appréhender comme une infinité de potentiels que nous pouvons explorer et exploiter à notre guise dans un sentiment de pleine sérénité, de joie, de curiosité et de créativité.

Le système de croyance est souvent construit à un très jeune âge sur la base d’injonctions, de conditionnements, d’habitudes, de mésinterprétations, de négligences, de traumas ou d’abus qui se révèlent pour la plupart être issus de dysfonctionnements et de mensonges.

Un enfant grandissant dans une famille dysfonctionnelle pour des raisons de survie va apprendre à créer et incarner des fausses identités pour devenir aimable, acceptable et s’adapter.

Nous survivons dans le mensonge et pouvons choisir de prospérer et vivre pleinement dans la vérité.

La mythomanie qui est un trouble de la personnalité et à la fois un symptôme d’une condition pathologique permet d’observer les effets du mensonge dans son extrême où le sujet est convaincu et croit pleinement à ses propres mensonges sans plus être en capacité de différencier la réalité du mensonge ou de maintenir des relations saines et durables.

Si on observe les relations interpersonnelles, la principale chose qui fait du tort est le mensonge et toute forme de trahison ou de tromperie.

Nous pouvons évidemment trouver plusieurs bonnes raisons de mentir et s’en sentir légitimes : ménager les autres, ne pas décevoir, se conformer, être accepté, faire une surprise, manque de confiance, par honte ou culpabilité, poser des limites, se protéger, etc.

Hors raisons perverses et conscientes de manipulations, les mensonges trouvent aussi leur source dans un manque de compétences à poser ses limites sainement, exprimer ses besoins, être autonome du regard des autres, prendre la responsabilité de ses ressentis, savoir gérer les déclencheurs, ne pas avoir besoin de la validation extérieure ou le besoin de conformité, etc.

Le mensonge est encouragé par la société notamment sous l’influence des réseaux sociaux par le culte de l’image et la peur d’être marginalisé. La singularité de l’individu a tendance à être gommée, étouffée au profit du groupe poussant ses membres à réprimer leur authenticité pour être admis dans le moule du conformisme.

Cela génère systématiquement un conflit interne entre les besoins fondamentaux d’authenticité et les besoins fondamentaux d’appartenance mettant tout notre système sous tension et en inertie face aux injonctions paradoxales externes et internes.

La Vérité, une affaire personnelle

Finalement, la vérité est une affaire très personnelle, intime. Elle renvoie à notre capacité d’être pleinement en transparence, en authenticité et en pleine acceptation de soi.

Être vrai avec soi et s’en remettre à ce qui est sur le moment, sans volonté de forcer quoi que ce soit, en ayant foi en notre capacité de naviguer toutes les situations qui se présentent à nous.

L’honnêteté radicale et un engagement ferme de ne pas se mentir requiert une certaine maturité et beaucoup d’empathie avec soi.

La vérité, quand elle nous explose à la figure, peut être choquante, voire traumatisante mais dans tous les cas, elle répond à tous nos questionnements et surtout s’avère valider tout ce que nous pressentions sans avoir été en mesure de se faire assez confiance ou faire des liens par manque de clarté.

En ce sens et logiquement, la vérité ne devrait pas faire mal, puisque ce n’est que ce qui existe déjà.

En réalité la vérité permet de retrouver la vue et ne plus avoir à avancer à l’aveugle ce qui nous dote et renforce notre capacité de consentement éclairé.

Alors pourquoi s’acharne-t-on à rester aveugle ? Pourquoi fournir autant d’effort pour distordre la réalité et en faire quelque chose d’acceptable ? Pourquoi le déni est-il un mécanisme privilégié ? Par ignorance ? inconscience ? perversion ? manipulation ? protection ? Pour qui ?

En réalité cela répond à un besoin de se reconnaitre en tant que bonne personne, une personne digne d’être aimée.

Et si le mensonge pouvait se comparer à une addiction qui nous aide à reporter, soulager voire anesthésier la douleur et l’anxiété générés par le conflit interne et le processus d’auto-sabotage.

L’Addiction est débilitante et nous éloigne de notre souveraineté autant que de la réalité.

Après tout, être dépossédé de la vérité ne revient-t-il pas à être dépossédé de son identité réelle, de sa conscience ? Ce serait le plus grand tord commis envers l’humanité nous rendant esclave de dogmes extérieurs.

Une fois prêts à voir la vérité, ce qui est frappant c’est se rendre compte à quel point tout est flagrant, évident ! Toutes les preuves sont devant nos yeux depuis toujours mais nous étions incapables de les voir pour constater comment nous avons pu vivre aussi longtemps dans le doute et la confusion dans un état d’aveuglement.

Quand bien même il est difficile parfois d’accueillir la vérité et parfois d’admettre d’avoir été dupé, la vérité offre une vue d’ensemble, redonne de la clarté, met fin aux schémas récurrents, réattribue souveraineté et sagesse de l’apprentissage, elle donne du sens, elle met de la cohérence dans les tenants et aboutissants et plus encore.

Naviguer en retrouvant la vue n’a pas de prix et représente un vrai cadeau et l’opportunité d’exercer pleinement son libre arbitre de manière éclairée.

Même si la vérité est occultée sur un plan conscient, elle va s’imprimer au niveau inconscient et subconscient et s’exprimer dans ce que nous manifestons dans nos vies.

C’est le décalage entre ces deux plans qui nous met dans un état de dissonance cognitive, de conflit interne et parfois de dissociation.

Vérité et conscience

La vérité a pour résultante la complétude et l’intégrité quand le mensonge créateur d’illusion lui génère division, éparpillement dans un état fragmenté et dissocié incapable de se souvenir de son identité véritable.

Notre conscience éternelle qui vit hors du temps sait toujours tout et tout lui est disponible. Rien de ce qui est ne peut lui être supprimé ou caché.

La structure de l’ego en tant que construction identitaire est une structure inorganique et représente le plus grand mensonge en tant qu’identité et tout dans ce plan matériel est construit sur la base de cette structure composée de fausses identités et personnalités qui amènent leur lot de peur, de division, de distorsion, de manque, d’abus, de dépendance et de vampirisme.

Ce concept ne peut être appréhendé que dans une vision du monde multidimensionnelle avec un esprit ouvert.

La vérité protège, libère, nourrie et permet l’expansion. Elle apaise, elle permet de construire la confiance en soi et avec les autres et elle nous rappelle notre éternité.

Seul le mensonge a peur de la vérité et souhaite la censurer.

Il est facile de croire que c’est la vérité qui fait mal mais c’est le contraire : la vérité vient équilibrer, neutraliser, libérer, apaiser, mettre en lumière et débuter un processus de reconstruction, de cicatrisation et de régénération là où justement il y a eu un mensonge qui a nous a blessé ou nous a déconnecté de notre réelle identité.

Certaines parties en nous ont peur de la vérité car elles ont choisi de s’anesthésier, se déconnecter pour ne rien sentir, ni peur, ni souffrance, ni solitude et survivre.

Ce qui nous a maintenu en sécurité plus jeune nous empêche d’être authentique à l’âge adulte.

La conscience éternelle que je suis réellement s’adresse à toutes ces parties qui compose mon système en leur disant qu’elles ne sont plus obligées de souffrir, d’avoir peur et de manquer de quoi que ce soit.

L’objet de leurs souffrances prend sa source dans des mensonges qui ne peuvent coexister avec la vérité que représente la conscience.

Je nous invite à nous pardonner d’avoir un jour cru à des mensonges que nous n’étions pas dignes, pas assez ou que nous ne sommes pas capables et ainsi rétablir la vérité de notre divinité.

Par ailleurs, il est temps de rétablir la vérité de l’inversion « des mensonges qui confortent » et « la vérité qui fait mal » quand c’est l’extrême opposé.

Les mensonges nécessitent beaucoup d’énergie, d’agitation et de contrôle. Le secret lui nous annihile et nous manipule.

La vérité quant à elle, est éclatante comme un soleil qui brille de mille éclats, met tout en lumière, révèle les imposteurs, dissout les voiles de l’illusion et rétablie l’équilibre et la justice.

Si vous souhaitez allez plus loin sur ce chemin de vérité, je vous propose un outil ICI ou un accompagnement ICI.

Puissions-nous être unis dans la vibration de la vérité.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Je vous remercie pour votre écoute et votre présence et je vous dis à bientôt.

Avec Amour et en Unité.

2022 : Révélations, Réveil & Responsabilité

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Bienvenus sur Amour Créateur.

Tout d’abord, je tiens à vous présenter mes vœux du cœur pour cette nouvelle année 2022.

Qu’elle vous soit douce, libératrice et riche de nouvelles intégrations afin que chacun puisse se reconnecter à son essence originelle et ainsi incarner sa meilleure version dans la légèreté, l’Amour Inconditionnel et la compassion au service d’un monde meilleur.

Après une longue période d’introspection et d’épreuves en tout genre, me voilà enfin de retour.

Si vous êtes ici, ce n’est surement pas un hasard et vous avez peut-être surmonté certaines épreuves plus ou moins difficiles où que vous soyez sur votre cheminement.

Personnellement l’année 2021 a été challengeante et plutôt éprouvante. J’y ai vécu des expériences très riches et profondes de joie et de connexion pour certaines et très lourdes et inconfortables pour d’autres.

J’ai pris le temps nécessaire pour accueillir pleinement ma vulnérabilité et amorcer un important processus de libération émotionnelle.  J’ai eu besoin de m’isoler, être en conservation énergétique, prendre soin de moi et cultiver le calme intérieur.

Cela a engendré très naturellement un certain nombre de changements dans mes perspectives, mes priorités et mes relations. Cela a également été une période de grandes révélations et d’apprentissage et l’occasion de pratiquer le détachement.

Ce que j’ai expérimenté est la continuité d’une profonde transformation qui a débutée en 2012 par une crise identitaire qui m’a propulsée dans des processus de petites morts et de renaissances avec les étapes de deuil qui accompagnent les grands bouleversements.

Nous sommes actuellement sur le point de vivre une crise spirituelle au niveau collectif incontournable compte tenu des derniers évènements.

Bien qu’elle comporte des inconforts, des émotions extrêmes, des épreuves difficiles et même des drames elle n’en n’est pas moins libératrice et créatrice d’un grand renouveau !

Nous allons avoir besoin d’énormément d’Amour pour soi et pour les autres pour traverser toutes ces étapes ensemble et cela tombe bien car notre réelle nature humaine n’est rien d’autre que de l’Amour pur et toutes ces turbulences sont l’occasion de se secouer et se libérer de ce qui n’est pas humain et que nous avons pourtant adopté comme normes malgré leurs caractères destructeurs, divisant et opprimants.

D’une certaine manière, et comme je l’avais pressenti dans ma vidéo du 15 août 2021, nous avons été mis sous pression et poussés dans nos retranchements nous obligeant ainsi à faire face à nos peurs et nos croyances les plus profondes afin de nous positionner dans un monde en bifurcation, incertain et chaotique.

Nous sortons ensemble plus ou moins choqués de ces dures épreuves, de ce réveil violent pour certains pendant que d’autres sont encore en sommeil en plein cauchemar.

Nous sommes témoins de l’écroulement de nombreuses illusions semant leur lot de déceptions et de trahisons. Des illusions sur lesquelles nous avons construit des existences contrariées, divisées, douloureuses et frustrées.

Nous découvrons la réalité d’une société aux fondations propices à des catastrophes certaines et ne nourrissant pas l’épanouissement de l’humanité.

Ce constat qui semble déprimant est néanmoins une belle opportunité de croissance car outre le deuil difficile que nous allons tous traverser à titre individuel et collectif, nous gagnons en maturité, en solidarité et en souveraineté.

La fin de ces illusions nous permet aussi de percevoir à nouveau notre belle humanité, sacrée, merveilleuse, solidaire, empathique, naturellement enjouée et désirant le bonheur pour tous.

2022 semble être un point de départ dans les thématiques de la Révélation, du Réveil et de la Responsabilité.

Ces 3 mots bien qu’ils soient lourds de distorsions et de négativité sont en réalité neutres et seront accueillis en fonction de notre disposition interne et nos intentions en cette bifurcation actuelle.

Bifurcation qui pourrait se résumer dans des choix conscients ou inconscients entre la vérité ou l’illusion, L’Amour ou la peur, l’autorité intérieure ou une autorité extérieure, l’unité ou la division, la liberté ou l’asservissement etc. Etc.

L’heure est donc au choix pourvu qu’il soit éclairé et libre. Mon intention ici est de transmettre quelques clés de compréhension afin que chacun puisse retrouver son intégrité personnelle et reprendre son pouvoir personnel créateur.

REVELATIONS

Le hasard n’existe pas et la relation de cause à effet finit toujours par se révéler malgré l’aveuglement induit par les mécanismes de défense de l’égo dont nous nous sommes tous accoutumés comme normalité.

Photo par Rahma

La révélation n’est rien d’autre que la mise en lumière de ce qui auparavant a été nié, mal perçu, manipulé, caché et/ou distordu.

Ce n’est pas forcement la réalité qui évolue mais bel et bien notre perception de la réalité qui est déformée par bien des filtres par ailleurs savamment utilisés comme leviers de contrôle et de manipulation des masses.

Une personne avertie en vaut 2 ! Et construire une société ou une vie sur un mensonge ou une illusion n’est pas durable et porte une grande atteinte à l’intégrité, garante de notre estime de soi et de notre épanouissement.

Il est d’ailleurs impossible de faire des choix profitables et prendre des décisions fructueuses sur la base d’éléments mensongers, incomplets, absurdes, incompréhensibles ou contradictoires.

Nous sommes à la veille de grandes révélations sur le caractère planifié, manipulatoire, trompeur et criminel de la crise actuelle qui par les nombreuses et complexes ramifications financières et institutionnelles seront le théâtre de grandes révélations sur les intentions peu louables d’une minorité ayant acquis trop de pouvoir sur la base du mensonge et de la perversion.

Il est à prévoir que les mensonges ne seront pas facilement mis en lumière. Nous pouvons raisonnablement nous attendre à beaucoup de résistances, de désinformation, de censure, de propagande et de confusion.

Cultivons la patience,  la pensée critique, le discernement, le non jugement, la neutralité et surtout la compassion face aux conséquences de telles révélations sur notre grande famille humaine.

Le processus de deuil est incontournable face aux effets de tant de mensonges, de déceptions, de trahisons et de machiavélisme.

Je ne mache pas mes mots. Tout le monde mérite la vérité car aussi douloureuse soit elle, elle reste une protection et une opportunité de libération et d’apaisement.

Quel individu sain d’esprit accepterait de s’injecter une substance toxique dont les ingrédients sont inconnus, non testés, issus d’une technologie expérimentale, ne remplissant pas des objectifs de santé mais des objectifs de capitalisation et de contrôle et aux conséquences douloureuses et dramatiques à court et long terme ?

Aucun !

A moins de travestir la vérité et assurer une grande campagne de marketing et une opération psychologique d’incitation et de coercition.

Une gratitude infinie à nos super héros lanceurs d’alertes et chercheurs de vérité qui ont bravé le ridicule, la stigmatisation, la maltraitance et la censure pour nous informer en risquant leur carrière, leur confort, leur réputation et leur vie pour certains.

Merci du fond du cœur ! Que vos sacrifices soient pleinement honorés.

La révélation ne se fera pas que du point de vue extérieur. La mise en lumière se fera surtout au niveau interne et de nos constructions identitaires qui nous ont amené à nous conformer à des règles contre nature.  

Les prises de conscience qui vont découler de cette grande transition que traverse l’humanité va contribuer à une expansion naturelle des consciences nous permettant ainsi de discerner de manière flagrante ce qui était sous nos yeux et pourtant insaisissable.

Ces divulgations sont le seul moyen de faire les changements intérieurs nécessaires qui pourront initier les changements à l’extérieur durables et équitables et ainsi reprendre le pouvoir sur notre destinée.

REVEIL

La lumière, que nous souhaitons tous intimement, va réveiller les plus endormis et risque bien de ne pas révéler le monde enchanté que nous imaginions.

En tout cas pas dans l’immédiat… car nous en sommes les futurs bâtisseurs et personne ne l’amènera sur un plateau.

Photo par Rahma

Le réveil va d’abord amener une onde de choc et nous mettre face à tout ce qui était croupi et stagnant dans l’ombre. Que ce soient nos peurs, nos blessures, nos traumas, notre naïveté, notre déni, nos consentements (non éclairés et manipulés) ou encore nos habitudes néfastes pour nous même et notre écosystème.

Ce réveil de conscience nous permet de voir ce qui n’était pas à notre portée auparavant notamment en raison des perspectives limitées de notre égo maintenues en place par nos conditionnements et nos routines.

Et pour ce qui est des vérités relatives aux « élites » et aux décideurs à qui nous avons remis notre pouvoir, l’ancrage au cœur et à sa conscience supérieure, l’univers ou Dieu comme vous vous plairez à nommer sera indispensable pour ne pas sombrer dans la folie que ces personnes incarnent.

La maîtrise de soi sera également un bon outil à développer pour mieux naviguer, tout comme le lâcher prise.

Il sera donc important de ne pas stationner trop longtemps dans des vibrations basses que peuvent amener la peur, la colère, le jugement, la critique, les regrets, la culpabilité etc tout en veillant à accueillir et traiter toutes ces émotions et informations de manière saine et ultra bienveillante.

Bref on commence le ménage ! Et il est primordial de redoubler de soin et de bienveillance pour soi.

Le réveil c’est aussi la mise en lumière de nos qualités, nos talents, notre intelligence adaptative et collective, notre pouvoir créateur, notre grande capacité à aimer ainsi que notre grande capacité de résilience !

C’est aussi l’occasion de nous retrouver, nous rassembler et imaginer une nouvelle réalité plus alignée à notre nature humaine, fondée sur un code moral sain et au service du bien commun.

Nous pourrons ainsi commencer à élaborer un plan d’action pour le manifester ensemble.

RESPONSABILITE

Le terme responsabilité a généralement mauvaise presse et s’accompagne d’un sentiment de lourdeur, de division, de sanctions, de peur et d’injustice.

Parfois quand on se sent submergé, on ne voudrait être responsable de rien… s’en dispenser et se changer les idées, et ça tombe bien une grande offre sur le marché est disponible pour fuir ses responsabilités…

Photo par Pexel

Nous avons tous eu des mauvaises surprises dans la société actuelle quand notre responsabilité est engagée et je précise dans un système construit sur des bases frauduleuses.

L’identification du responsable induit une programmation victime bourreau avec un tiers sauveur qui vient trancher tout à son avantage…

Nous sommes d’ailleurs tous conditionnés à vouloir chercher un coupable / responsable extérieur à tous les petits et grands désagréments de notre vie pensant se libérer d’une charge trop lourde tout en maintenant une bonne image de soi.

Hélas, nous pouvons constater actuellement qu’à force de remettre nos responsabilités respectives à des autorités extérieures, nous nous retrouvons dans un imbroglio impossible !

Il est impossible d’échapper à sa propre responsabilité ! Quoique nous fassions et peu importe les garanties obtenues, nous finissons toujours par devoir assumer les conséquences de nos choix.

Dans l’exemple d’une problématique entre 2 personnes, un des objectifs consiste à identifier et évaluer le niveau de responsabilité des protagonistes pour ladite situation sur une base de 100 divisible par 2.

Or il conviendrait de comprendre que chacun est responsable à 100% de la situation dans laquelle il se trouve que ce soit du point de vue des conséquences que du point de vue de la cause.

C’est la seule et unique façon de tirer les leçons d’une situation et prendre des décisions de manière plus autonome et souveraine.

Je considère la responsabilité comme un moyen d’atteindre la pleine souveraineté et sortir de l’impuissance, de la codépendance et de la manipulation.

Dans une situation difficile, choisir de ne prendre aucune responsabilité, consiste à remettre tout son pouvoir à l’extérieur. Or, si l’autre me met dans cette situation, seul l’autre peut m’en sortir.

Comprendre sa responsabilité et l’accueillir pleinement veut dire que je suis maitre de la situation. Je me suis mis dans cette situation et je peux choisir de m’en sortir et d’en tirer les leçons pour ne plus avoir à revivre ces schémas répétitifs.

Malheureusement, certaines personnes ayant cédé à la pression machiavélique d’injections expérimentales n’ont trouvé aucun recours possible face à des effets secondaires avérés peu importe l’interlocuteur :  le gouvernement, le corps médical, le fabricant ou encore les assurances.

Une situation où personne ne souhaite prendre ses responsabilités, devrait fortement nous alerter et nous amener à nous positionner fermement pour prendre ses propres décisions de manière libre et éclairée afin d’être en capacité d’assumer sa propre responsabilité et toutes les conséquences.

Un autre risque de ne pas prendre ses responsabilités serait de voir apparaitre des sauveurs aux intentions dissimulées.

Par ailleurs endosser injustement la responsabilité des autres équivaut à les priver de leur propre souveraineté d’une part, et d’autre part ne leur permet pas de tirer les apprentissages de leurs expériences personnelles, notamment la relation de cause à effet.

Porter la responsabilité pour les autres se manifeste de diverses manières et révèle souvent une relation fondée sur la codépendance.

Par exemple :

  • Ménager les autres à son propre détriment.
  • Ne pas définir et poser des limites face à des comportements abusifs.
  • Proposer de faire à la place sans justification pour une quelconque gratification émotionnelle.
  • Déséquilibre recevoir/donner
  • Ne pas exprimer ses besoins face à des manquements.
  • Couvrir des méfaits par omission.
  • Choisir le soulagement à la vérité.
  • Etc.

Ne pas prendre la responsabilité qui incombe aux autres n’est pas de l’indifférence ou de l’égoïsme.

Bien au contraire il est possible de rester connecté à son cœur, son empathie naturelle et ses propres besoins tout en tenant l’espace avec compassion et en ayant confiance dans la capacité de chacun à trouver ses propres solutions pour des situations qu’il ou elle a contribué à engendrer.

Par ailleurs, porter la responsabilité d’autrui aura pour effet de lui envoyer un message implicite mais fort qu’il est impuissant et incapable. Ce paradigme appartient au monde qui s’écroule présentement.

La Communication Non Violente à laquelle je me suis formée est un outil et surtout une posture primordiale qui m’a permis de comprendre à quel point nous ne prenons pas la responsabilité de nos ressentis ou la responsabilité de répondre à nos propres besoins.

Nous avons été conditionnés à projeter la responsabilité de notre mal être sur des personnes ou des circonstances extérieures et cela se retrouve même dans notre langage au quotidien par des transferts de blâme et des projections.

Comprendre, intégrer et embrasser la responsabilité qui nous incombe révèle notre réelle capacité de créer, d’apprendre et de manifester.

En ce sens, il est de la responsabilité de chacun de :

  • S’informer,
  • Se protéger,
  • Répondre à ses propres besoins,
  • Construire un code moral sain et solide,
  • Développer une bonne estime de soi et des relations basées sur la confiance.
  • Demander de l’aide si besoin.

La Réponse habilité est l’aptitude d’apporter une réponse adéquate à chaque situation en redevenant intra déterminé et non influencé et dirigé par des éléments extérieurs.

NAISSANCE D’UN NOUVEAU MONDE

Soyons clairs. C’est la fin d’un monde et la naissance d’un autre.

Imaginary view of planet earth in a star field. Elements of this image furnished by NASA

Nous sommes en chemin vers une libération qui n’est que la 1ère étape.

Quand une victime se libère de l’emprise d’un pervers narcissique, d’un psychopathe ou tout autre forme de déconnexion, on peut observer plusieurs étapes :

La révélation, la libération/évasion de l’emprise, la mise en sécurité, la décharge émotionnelle, le soulagement, la célébration, le réveil, la guérison, la réhabilitation et la rééducation et enfin le leadership pour renaître et créer sur des nouvelles bases saines et ce processus n’est pas linéaire…

Un processus important de guérison de trauma et de résilience se profilent en même temps que la construction d’une nouvelle réalité.

J’adresse une prière pour toutes les personnes qui souffrent en ce moment afin qu’elles soient soutenues et bénies dans leur cheminement dans la douceur, la bonté, la protection et la grâce divine.

L’heure n’est pas au découragement mais plutôt à laisser fleurir l’enthousiasme d’un peuple enfin réveillé, résilient, libéré par la vérité et engagé de manière responsable pour la co-construction d’une nouvelle réalité ancrée dans des fondations solides d’Amour, de respect, de confiance, d’Unité et de Vérité.

Je nous invite à rester ouverts aux miracles de la vie, continuer à semer des graines, servir la vérité et construire les nouvelles fondations pour un monde d’unité, d’Amour et d’harmonie pendant que l’ancien monde s’écroule sous nos yeux compatissants.

En ce sens chers Amours Créateurs, je serai ravie de savoir ce que votre cœur désire cocréer.

Laissez-moi vos commentaires et n’hésitez pas à rejoindre le fil Telegram pour nous retrouver entre Amours Créateurs !

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

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En Unité et avec Amour

Gardiens de l’Humanité – La société

Fil Telegram : 💙

Photo de Andreas Wohlfahrt sur Pexels.com

Bienvenue sur Amour Créateur.

Mon amour pour l’humanité et ma vocation depuis toujours d’accompagner le changement de manière holistique soutenant la souveraineté et la vérité sont totalement confortés par ce que nous traversons actuellement tous ensemble.

Le changement qui est une caractéristique naturelle du vivant implique la prise en compte des éléments extérieurs d’influence et l’interconnexion avec l’écosystème environnant.

Les enjeux auxquels nous faisons face actuellement sont considérables et décisifs pour l’espèce humaine et nous y sommes confrontés jusque dans dans nos sphères privées.

Chacun dans son intimité prend conscience du surréalisme et de la gravité de la situation sans pour autant savoir que faire pour une issue heureuse.

Nous sommes à la croisée des chemins entre l’ancien et le nouveau paradigme pendant lequel un processus de libération intense se joue provoquant de fortes turbulences.

Les questionnements qui émergent en nous sont très précieux car ils nous indiquent clairement les limites de notre société, les limites de ce que nous pouvons endurer et les limites de ce que nous avons tolérés et qui nous éloignent de notre nature profonde, de notre épanouissement et de nos besoins fondamentaux.

Sans avoir eu le temps de comprendre ce qui nous arrive individuellement et collectivement, nous nous retrouvons dans une situation de grande impuissance où faire preuve d’esprit critique, de questionnement, de non-conformité, de fraternité ou de liberté nous font subir de plein fouet la violence inouïe d’un système de pensée unique, rigide, autoritaire et dénué d’empathie.

Quelle est la juste posture ?

  1. Céder à l’illusion, obéir aux ordres et se conformer dans l’espoir d’une issue heureuse malgré , la perte de confiance, les mesures incohérentes s’avérant préjudiciables et des résultats toujours plus déplorables ?
  2. Rechercher la Vérité, incarner la posture de l’observateur neutre, obéir à sa Conscience et sortir de la confusion et du déni pour prendre ses responsabilités, se respecter dans son intégrité et participer activement à manifester une issue heureuse ?

La 1ère posture semble la plus simple et la plus confortable mais peut s’avérer trompeuse et nous mener à un profond mal être et un avenir de plus en plus éloigné de notre nature humaine et de notre épanouissement.

La 2nde posture quant à elle peut résonner très fortement et profondément avec nos besoins légitimes de liberté et d’épanouissement.

Hélas, cette posture ressemble à une mission des plus dangereuses en ces temps de censure, de propagande de peur et de restrictions incohérentes.

Heureusement ou malheureusement, l’histoire nous a déjà montré les conséquences possibles dans le choix d’obéir à sa conscience vs obéir à des ordres immoraux et contre toute éthique.

Si vous optez pour la 1ère posture, il y a de fortes chances que la peur, la culpabilité et l’humiliation suscitée et relayée partout (terrorisme ?) ne vous aie déjà privé de votre capacité de discernement et la suite de l’article risque au mieux de vous faire changer d’avis, vous irritez peut être et au pire vous donner mauvaise conscience.

Cet article s’adresse à ceux qui choisissent la seconde posture : les êtres humains volontaires à prendre leurs responsabilités, se respecter et s’engager dans la voie de l’épanouissement et du développement individuel et collectif.

Cette mission aux allures dangereuses mais néanmoins noble et salutaire pourrait s’appeler « Gardiens de l’Humanité » et elle consiste à bien se connaitre et à mieux appréhender son écosystème afin de saisir les enjeux auxquels nous faisons tous face actuellement et agir en conscience et avec éthique.

Depuis longtemps et de manière de plus en plus accélérée, nous constatons la dérive d’une civilisation humaine sous influence, traumatisée et fortement conditionnée qui s’éloigne de sa nature et qui finalement s’adapte très mal au regard des nombreux maux générés.

Je fais référence entre autres à la catastrophe humanitaire qui se déroule actuellement dans certains pays par le biais de la « crise sanitaire » qui justifierait toutes les dérives autoritaires, liberticides et d’une extrême gravité bioéthique.

Aujourd’hui, les choses atteignent des proportions alarmantes de maltraitance et de mépris de tout éthique morale, pourtant et contre toute logique, de nombreux pays sont sortie de la « crise sanitaire » et ont repris une vie normale sans fâcheuses conséquences.

Je parle plus précisément des tests expérimentaux de thérapie génique à messager ARN fait à grande échelle sur l’humanité et injustement désignés par les termes de « campagne vaccinale » susceptibles de générer une catastrophe sanitaire sans précèdent et causer d’innombrables dégâts sur le génome humain, entre autres.

J’adresse une prière sincère et du plus profond de mon cœur à tous les êtres humains souffrant de la situation actuelle.

Je ne vais pas développer plus cette thématique mais je vous invite à faire vos recherches sur l’agrégateur de chaines multiplateforme : www.infovf.com où vous y trouverez plusieurs sources d’information indépendantes.

Alors, ne serait-il pas l’heure de réveiller le super héros qui sommeille en nous ? Protéger et défendre ce qui fait de nous des êtres humains, en l’occurrence notre intégrité physique et génétique.

Après tout, qui n’aime pas les histoires de super héros ?

Le façonnage d’une société

L’acception du terme « société » en sciences sociales désigne un ensemble de personnes qui partagent des normes, des comportements et une culture et qui interagissent en coopération pour former des groupes sociaux ou une communauté.

Pendant longtemps, il s’agissait d’êtres humains vivant ensemble créant et forgeant ainsi une société respectueuse de leur nature, leurs valeurs morales, leur culture, honorant leurs besoins fondamentaux et ayant des fondements éthiques et moraux inspirés des lois naturelles.

Notre société moderne en rupture avec la sagesse ancestrale ne s’est pas formée de cette manière.

La société actuelle n’est plus construite par les êtres humains qui la composent mais elle est plutôt édifiée par un ensemble de règles juridiques et commerciales édictées par des corporations régulant des personnes juridiques.

Une autorité extérieure qui ne reconnait pas le caractère humain, organique et souverain de l’être représentant ladite personne juridique.

Nous assistons actuellement à une évolution accélérée des normes sociales et éthiques qui nient la moralité humaine et fabrique une culture basée sur le capitalisme, la division, l’ignorance, l’uniformisation, l’avilissement, l’appauvrissement de l’éthique et la destruction.

Combien d’êtres humains souffrent actuellement de cette société déshumanisante, dé-moral-isante et traumatisante ? Quels seront les impacts sur les prochaines générations et l’avenir de l’humanité ?

Outre, les chiffres vertigineux de victimes de guerres, de génocides, de trafics d’êtres humains, de pauvreté, de maltraitance, de maladies chroniques, d’intoxications diverses, de dépression combien d’entre nous se voient comme des anomalies face à cette société de plus en plus abusive, maltraitante et traumatisante ?

Combien d’entre nous se sentent inadaptés, indignes et impuissants et parfois dans l’attente et l’espoir d’une autorité extérieure salvatrice ?

Face à autant de souffrance, la priorité (certes légitime) est de soulager la douleur sans forcément avoir le recul, les ressources et le soutien nécessaire pour se libérer de ce qui génère cette souffrance.

Malheureusement ce besoin légitime de ne pas souffrir peut être manipulé à notre détriment pour nous faire consentir à des soit disant remèdes encore plus addictifs et parfois destructeurs en utilisant une technique courante de neuromarketing « stimuli-réponse » empruntée aux neurosciences  : Problème (crée volontairement) – Réaction (de peur) – Solution (prévue en amont et inadéquate).

« La douleur émotionnelle non résolue est la grande contagion de notre temps » Marc Ian Barasch

Pour soulager cette douleur, nous avons été conditionnés à chercher tous les moyens possibles pour ne plus la ressentir sans être toujours capable d’en identifier l’origine amenant ainsi : divertissement, projections, création inconsciente de sous personnalités, consumérisme et développement d’addictions pour combler le vide, etc.

Je partage ces compréhensions, dans le cadre de ma pratique de coaching, non pas pour se déresponsabiliser et se placer en victime de la société, mais au contraire prendre tous les aspects en compte pour opérer des changements salutaires et aider qui le souhaite à retrouver une certaine cohérence et dissiper les brouillages internes que peut nous renvoyer la société telle qu’elle construite actuellement.

Mon intention n’est pas d’accompagner les êtres à s’adapter à une société malade et obsolète qui a généré beaucoup de souffrance mais plutôt à les accompagner à trouver la vérité de ce qu’ils sont profondément et se donner les moyens de le manifester de manière souveraine dans le monde actuel en transition.

Une mission

L’influence du Darwinisme social dans la société actuelle ne semble pas compatible avec la notion de mission pour notre espèce humaine. Tout tend à nous faire croire que notre existence est le fruit du hasard et que nous n’avons aucun but spécifique si ce n’est de survivre à la sélection naturelle du plus adapté.

Ce n’est qu’aujourd’hui, avec le recul de nombreuses années d’introspection et de travail personnel que je prends conscience que j’ai passé une grande partie de ma vie dans un état dépressif, en errance, dépensant mon énergie vitale dans des futilités et ne sachant quel sens donner à ma vie. Et cela me semblait inévitable puisque tout le monde autour de moi en faisait de même.

Je me souviens particulièrement d’une expérience de harcèlement moral au travail pour me pousser à la démission. Il a suffi à ce nouveau directeur, voyant en moi une menace, de me retirer petit à petit, tous projets, tous contacts, toutes missions : une mise au placard. Cette absence de mission m’a menée directement à la depression.

Il est à déplorer malheureusement que la depression conduit trop de personnes ne trouvant aucun sens à leur vie à y mettre un terme où vivre de manière désœuvrée ou destructrice pensant qu’ils n’ont plus aucune raison de vivre.

Je nous invite à faire le parallèle sur le plan élargie de l’humanité en tant qu’espèce pour mieux comprendre l’état actuel du monde.

J’utilise cet exemple personnel pour étayer mes arguments et ma conclusion personnelle que notre nature humaine a besoin de sens pour vivre sa vie de manière épanouie.

Les êtres humains doués de sensibilité et de conscience sont des cellules vivantes de notre planète Terre, elle aussi vivante, consciente et sensible sur une échelle de temps et d’espace plus grande. Nous appartenons à notre planète et non le contraire.

Nous, êtres humains ainsi que tous les organismes vivants formons un écosystème dans lequel nous évoluons de manière interconnectée, où chacun a sa raison d’être pour en assurer l’équilibre et la prospérité. Ainsi si un élément de notre écosystème venait à souffrir, le système entier en serait affecté à terme.

Chaque porteur de la Vie n’en deviendrait il pas son Gardien de manière tacite ?

En ce sens chaque être humain et tout être vivant doué de sensibilité et de conscience devrait être respecté dans son intégrité.

Et vous quel sens donnez vous à votre existence ?

Gardiens de L’Humanité

Photo de Rakicevic Nenad sur Pexels.com

En tant que Gardiens de l’Humanité, nous avons une grande responsabilité individuelle et collective dans les effets que nous engendrons sur notre propre espèce notamment via la préservation de notre génome humain et le bon sens nous indique qu’aucun d’entre nous n’a le droit de jouer aux apprentis sorciers pour dénaturer notre héritage divin sous couvert de modernisation.

Nous sommes en tant qu’êtres humains et de par notre physiologie, la technologie la plus avancée constamment copiée même si nous n’avons pas appris à l’utiliser correctement pour notre plein épanouissement.

Qu’est-ce que l’Humanité ?

Qu’est ce qui fait de nous des êtres humains ?

Je serais très intéressée de lire vos avis et je vous invite à échanger sur cet espace Telegram : 💙

J’ouvre néanmoins le sujet ici en vous partageant ma compréhension, certes limitée à mon expérience personnelle et à mon niveau de conscience actuel.

J’aurais notamment plaisir de développer en plusieurs parties cette mission de « Gardien de l’Humanité » pour mieux comprendre les enjeux actuels et développer des moyens d’agir au niveau individuel pour notre épanouissement.

Nous, êtres humains, sommes des êtres multidimensionnels ayant un fonctionnement complexe et très élaboré.

Notre fonctionnement commence à peine à être retrouvé grâce aux disciplines comme, les neurosciences, la psychologie notamment humaniste et comportementale, le retour des médecines traditionnelles, l’approche systémique, la cohérence cardiaque, les approches somatiques, l’hypnose, la biologie cellulaire et moléculaire appliquée, l’énergie quantique, l’épigénétique, les travaux récents sur les émotions et la conscience, etc.

Notre structure est composée de plusieurs éléments : matières organiques, chimiques et énergétiques interconnectés et censés fonctionner à l’unisson et en coopération en l’absence de traumatismes ou de conditionnements extérieurs quelconques :

  • Une conscience qui ne s’arrête pas à notre corps physique et qui n’est ni soumise au temps ni à l’espace.
  • Un corps physique qui est le véhicule de cette conscience et qui est doté de nombreuses fonctionnalités et d’un ensemble d’instructions pour appréhender le monde et les autres et dont nous sommes loin d’avoir percé tous les mystères.
  • Un corps émotionnel encore trop méconnu et confondu avec le corps de douleur.
  • Un corps mental hyper sollicité et valorisé dans nos sociétés dites modernes.
  • Un corps énergétique notamment les aspects électromagnétiques, cellulaires et subatomiques.
  • La structure de l’égo ou un ensemble de programmations de construction identitaire.

Ces sujets ont déjà fait l’objet de plusieurs ouvrages et ouvrent un champ infini de connaissance.

Néanmoins, il me semble important dans une démarche d’évolution et de connaissance de soi de connaitre un minimum la manière dont nous sommes structurés et qui hélas n’est pas suffisamment enseigné dès le plus jeune âge.

Il s’agit là d’explorer quelques pistes et entamer nos propres recherches susceptibles de nous aider dans notre démarche d’épanouissement et nous permettre de nous positionner avec discernement et conscience face aux décisions délicates que nous devons prendre actuellement.

En attendant la suite de cet article : « Gardien de l’Humanité : le corps physique », je vous propose un nouvel outil audio de 28 minutes sur la thématique de la relation au corps physique..

Cet outil m’est encore très utile pour soutenir le travail de déprogrammation des conditionnements et des inversions présents au niveau du subconscient.

Il s’agit d’une série de 64 affirmations visant la connaissance et l’harmonisation du corps physique dans le cadre d’un processus de développement personnel pour aider à reprogrammer le subconscient de nouvelles commandes visant la souveraineté et l’autonomie, la connaissance et l’acceptation de soi, l’ancrage et la santé.

Pour le commander cliquer ici :

Go Gardiens !

D’autres outils audio sont disponibles : OUTILS

Le précèdent article « l’observateur neutre et compatissant du grand changement » inclus quelques méthodes pour mieux naviguer la situation actuelle.

Prenons le temps du recul et recentrons nous en nos cœurs avant de prendre une quelconque décision.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Je vous remercie pour votre écoute et votre présence et je vous dis à bientôt.

En Unité et avec Humanité.

L’observateur neutre et compatissant du grand changement

Discussion sur Telegram : 💙

Méditation Observateur et Compatissant téléchargeable ici :

Ressourcez vous

Bienvenus sur Amour Créateur, nous sommes le vendredi 12 février 2021. Je suis Rahma, coach holistique.

PREAMBULE

Avant de commencer, j’aimerais prendre le temps de poser un cadre en toute transparence pour permettre à toutes les personnes à l’écoute de se positionner de la manière la plus cohérente et la plus constructive pour son épanouissement.

Cet article « l’observateur neutre et compatissant du grand changement » tout comme le contenu du site web Amour Créateur est à l’attention de tout être humain ou groupe d’êtres humains pleinement engagés dans une démarche de développement personnel et spirituel dans la compréhension et le respect des principes naturels et universels d’Unité, de Vérité et d’Amour au service de la VIE.

J’ai à cœur de transmettre ici des outils et des informations qui sont le fruit de diverses intégrations que j’ai eu le grand privilège d’acquérir au fil de mes expériences et défis personnels avec l’assurance que chacun possède ses propres ressources pour son discernement et son épanouissement personnel.

Mon intention est de rassembler un maximum de ressources permettant de découvrir son être véritable, le développer, le (re) connaître, le renforcer et le maîtriser.

Cette connaissance de son soi véritable constitue les fondations saines, condition sine qua none pour cocréer et manifester une réalité organique et prospère à tous et à chacun.

La conception originelle de l’être humain est de vivre en harmonie et en interconnexion avec son écosystème à l’instar de tout organisme organique.

Pour cette raison, mon approche est holistique aussi il est fréquent que j’aborde les choses dans les deux perspectives microscopiques et macroscopiques pour des besoins de compréhension et de cohérence, bien que mon action dans le cadre de mes accompagnements se limite au niveau micro de l’individu.

Cette espace est dédiée à la souveraineté, la liberté, l’équilibre et à l’épanouissement de chacun et de tous. Je place cet espace et son contenu de manière consciente sous l’autorité et la protection des valeurs et des forces bienveillantes les plus élevées de notre source de lumière divine et éternelle.

Je précise que je ne représente, ni ne suis affiliée à aucun dogme ni religion.

Ma connaissance et ma compréhension de l’existence d’une source divine créatrice, d’un champ infini d’intelligence et d’Amour est le fruit de mes expériences, de mon observation et de mon exploration intérieure transformées en initiations à partir du moment où j’ai posé l’intention d’apprendre et évoluer.

Ce processus continue pour moi dans une humilité qui grandit à chaque pas.

Je ne perçois pas Dieu, l’Univers, la Source Divine ou le champ infini d’amour et d’intelligence comme une autorité extérieure mais une réalité interne, une relation intime et un ressenti profond.

Je ne me perçois pas non plus de manière déconnectée de notre source divine comme une goutte d’eau ne peut pas se sentir coupée de l’élément eau peut importe oú elle se trouve ou la forme qu’elle prend.

Il n’y a ici aucun jugement de valeur envers l’expression unique que chaque individu a choisi pour son cheminement et les informations partagées ici ne se substitue en aucun cas au discernement de chacun.

DESORIENTATION ET CONFUSION

Aujourd’hui, j’aimerais approfondir sur le thème de l’article précèdent de janvier 2021 « le temps de la Libération » et explorer des aspects plus pratiques de navigation notamment la posture de l’observateur neutre et compatissant.

Nous voyons tous que la crise actuelle est mondiale et historique.

Nous vivons à la fois la pire et la meilleure des époques ! La pire dans le processus de réveil des consciences et le démantèlement de l’égo et la meilleure dans les probabilités créatrices infinies qu’offre ce réveil.

Photo de Rahma sur Amour Créateur

Qu’elle soit orchestrée ou pas, cette crise trouve ses origines dans les déséquilibres et les incohérences que nous vivons en tant qu’espèce organique et vient nous montrer à quel point nous sommes devenus dépendants sur de nombreux plans.

En effet, en tant qu’espèce nous avons vécu trop longtemps de manière déconnectée de notre véritable nature profonde et notre nature environnante.

Par ailleurs, cela est grandement exacerbé dans les sociétés occidentales dites plus modernes. Moderne dans le sens où il y a une rupture radicale avec les anciens enseignements, les traditions et la sagesse ancestrale.

Pour arriver au point de surréalisme actuel, nous pourrions en déduire qu’au-delà du fait d’avoir été déconnectés de notre nature – c’est à dire perdu la connexion et l’échange naturel d’information intelligentes – nous avons également été d’une certaine manière un tant soit peu… dénaturés à force de conditionnements et d’adaptations à un environnement et une norme morale inadéquats voire toxiques à notre épanouissement.

Hélas, nous pouvons actuellement être témoin de dissonance cognitive généralisée.

Par exemple, nous voyons une grande majorité de personnes sous l’emprise de la peur. La physiologie de la peur, inhibant entre autres, les capacités de raisonnement et immunitaires amène ces personnes à consentir à un consensus minoritaire médiatiquement amplifié qui consiste à :

  1. Se faire tester pour valider l’existence d’une maladie ayant un taux de mortalité plus bas que celle de la grippe saisonnière malgré l’absence totale de symptômes. Ce virus à divers variants serait détectable via des tests pouvant léser la barrière hémato-encéphalique. D’ailleurs ces tests détectent uniquement une réponse immunitaire du corps et non la présence du dit virus qui n’a jamais été complétement séquencé à ce jour.
  2. Adopter des mesures contraignantes et avérés non seulement inefficaces mais nuisibles sur plusieurs plans.
  3. Ignorer des moyens préventifs ou traitements existants simples, inoffensifs, peu couteux et efficaces au profit d’un « remède » nouveau crée par des sociétés commerciales, non garanti et non testé issue d’une thérapie génique expérimentale à messager ARN manipulant les instructions originelles de notre ADN et dont les dangers excèdent de loin les bénéfices tout en maintenant toutes les contraintes et restrictions.

Ce qui peut sembler évident à certains est loin de l’être pour d’autres et cela met en lumière des constructions mentales et un fonctionnement du Système nerveux central bien différents en fonction de la physiologie induite par la peur ou par l’amour et toutes les émotions secondaires respectives qui en découlent.

Notre environnement, notamment via les médias et les réseaux sociaux, est fortement conditionnant, addictif et crée un contrôle mental fort. Mon expérience professionnelle de quelques années dans une agence média et dans le marketing me permettent d’affirmer que les médias sont l’origine et le produit d’une ingénierie sociale servant de moyen d’influence, de suggestions voire de manipulation et de propagande massives au service de ??? Ceux qui en tirent le plus de bénéfices…. D’où une question intéressante à se poser : à qui cela bénéficie-t-il ?

Nos besoins fondamentaux et notre nature profonde peuvent dans le cas bien précis d’une campagne d’influence être utilisés à mauvais escient : par exemple, notre besoin d’appartenance peut être manipulés pour nous pousser à la conformité. Notre empathie et notre sentiment de vulnérabilité visant à créer du lien et de la solidarité peut être considéré comme une marque de faiblesse et ainsi être utilisée comme outil d’autorité dans un esprit d’adversité et de prédation.

BIFURCATION

Nous sommes dans une étape cruciale et très intense de transformation profonde et accélérée.

Peut-être même un point de bascule où l’humanité peut subir des mutations radicales et rapides.

A la lumière de tout cela, il semble important de poser une intention ferme quant à la direction que nous souhaitons emprunter en cette bifurcation sachant que ce que nous faisons de manière individuelle vient impacter notre grande famille humaine.

Nous sommes confrontés au milieu de ce chaos à beaucoup de peur, de questionnements, de doutes, de déception, une perte de confiance, de la démoralisation, du découragement et de la colère avec l’impression d’avoir été manipulés, trompés, trahis et bafoués ! 

Tous ces sentiments et les émotions qui les accompagnent sont non seulement légitimes mais malheureusement justifiés dans la plupart des cas !

Je n’ai pas la vocation particulière de vouloir divulguer quoique ce soit ici et beaucoup de chercheurs de vérité font un travail remarquable avec éthique, cœur et intégrité mais avoir une compréhension et du recul sur l’environnement et la situation de manière responsable et mature est très importante dans une démarche d’évolution et donc de changement.

Par exemple, une personne ayant subi un traumatisme via des abus doit d’abord reconnaitre le caractère abusif de son expérience et sortir de la situation abusive pour entamer un processus de guérison et de reconstruction.

Pour cette raison, je nous invite fortement à faire nos propres recherches avec persévérance pour échapper aux conventions et consensus qui reposent sur des suppositions et qui peuvent nous être imposées comme incontournables pour le bénéfice exclusif et unilatéral d’un petit nombre de bénéficiaires.

Nous sommes en train de grandir, nous émanciper ! Pour découvrir en toute autonomie les possibilités que nous offrent notre monde et notre humanité retrouvés.

Certes, nous avons été infantilisés et rendu complètement dépendants en quelques générations. Les paysans, artisans, petits commerçants, guérisseurs, artistes et sages ont laissés la place à des consommateurs de produits et services crées par des sociétés dont le seul objectif est la rentabilité à court terme au détriment de tout, notamment de la stabilité, la cohérence et la durabilité.

Nous pouvons d’ailleurs constater que nous sommes rendus responsables des conséquences néfastes avec toute la culpabilité que cela peut induire et l’image négative de nous-mêmes en tant qu’espèce.

C’est pour cette raison qu’il est important de voir et regarder les incohérences, identifier où se trouvent les inversions et les distorsions qui nous éloignent de notre véritable nature. L’objectif étant de comprendre comment tout cela est arrivé, tirer des leçons et ainsi éviter de réitérer les mêmes erreurs tout en s’améliorant.

Le moment est plus que jamais propice pour investir davantage dans notre humanité, notre essence, notre être véritable et éternel.

Mon intention ici est d’apporter une façon de voir la situation actuelle différemment, comprendre que notre société ne peut plus évoluer avec le même paradigme qui l’a créé afin de ne pas seulement subir les évènements mais réellement de se renforcer et devenir acteur de sa propre souveraineté.

PARTICIPATION ACTIVE AU GRAND CHANGEMENT

Comment à titre individuel pouvons-nous participer à ce grand changement ? Comment pouvons-nous naviguer sereinement dans une situation qui semble nous laisser que peu de marge de manœuvre ?

La première étape consiste à comprendre le sens de ce qui se joue et j’espère vous avoir apporté quelques clés de compréhension qui vous donneront envie de faire vos propres recherches tout en développant votre sens critique et votre discernement.

L’ignorance induite par la consommation d’information formatée et marketée a bel et bien contribué à la situation actuelle et en ce sens, la connaissance libère et commence par une démarche de recherche dans un esprit critique et ouvert.

Deuxièmement, en ces temps d’incertitude et de pression, il est encore plus essentiel de mettre en place une hygiène de vie soutenante :

  • Limiter les stimulations extérieures au strict nécessaire : flux d’information continue, sollicitations extérieurs et notifications intempestives, temps d’écran, bruits, radiations, etc.
  • Prendre soin de soi par le repos, un sommeil de qualité, une nutrition saine, une supplémentation si nécessaire, des temps de créativité, etc.
  • S’ancrer dans son corps physique par des activités : sport, danse, jardinage, randonnées, respiration consciente, massages, bains, contacts affectifs, méditations d’ancrage, prières, etc.
  • Mettez en place des choses qui renforceront votre sentiment de sécurité et de puissance personnelle. Par exemple des affirmations, un travail approfondi sur les peurs, La méditation guidée « espace sacré » et « l’observateur neutre et compatissant » que je propose peuvent également vous y aider.
  • Et enfin, prendre toutes mesures utiles pour revenir à l’équilibre de nos énergies : par exemple volontairement ressentir de la gratitude après un moment de grande frustration, faire une activité amenant de la joie, si vous avez ressenti de la peur, etc. Dans tous les cas, évacuer la charge émotionnelle de manière saine et inoffensive (Pleurer, crier, taper dans un sac, sauter, courir, se secouer et faire des tapotements, etc.)

La troisième étape est de poser une intention ferme de la direction que nous souhaitons donner à notre vie.

Ce que nous souhaitons être, vivre et expérimenter. Outre le fait de lui donner forme et la manifester, cette intention va nous permettre de garder le cap et évaluer à chaque étape si nos actions, notre temps et notre énergie sont utilisés de manière cohérente, constructive et alignée.

Bien sûr, cette intention sera amenée à évoluer en même temps que nous. Ce peut être un rêve, un projet, un objectif, une mission, une raison d’être, un engagement, etc

Par ailleurs, cet exercice nous oblige à nous questionner sur nos priorités en termes de valeurs importantes et ainsi évaluer la cohérence de nos choix et de nos décisions tout en évaluant les éléments de parasitages et de sabotages internes ou externes.

Quelles est notre vision d’avenir ? nos objectifs ? et que mettons nous en place pour les concrétiser ?

En utilisant l’Analogie d’un film ou d’un jeu vidéo, imaginez que vous avez dans votre vie les pleins pouvoirs et responsabilités sur tous les rôles :

  • Le héros de l’histoire qui vit l’action avec sa quête, ses défis et ses pouvoirs.
  • Le cameraman observateur qui choisit où mettre son attention avec le meilleur angle, la meilleure luminosité et la meilleure perspective.
  • Le réalisateur qui coordonne les équipes pour mettre en scène l’histoire dans des orientations et des ambiances précises.
  • Le producteur responsable de la gestion des ressources.
  • Et tous les autres rôles de metteur en scène, scénaristes, directeur de casting, etc.

En quatrième étape nous pouvons identifier ce qui se trouve entre nous et la manifestation de notre plus haut potentiel :

  • Les interférences : Mes croyances limitantes, mes différentes peurs, mes conditionnements, etc.
  • Mais aussi les ressources inexploitées dans une approche appréciative : mes valeurs, les qualités que je souhaite incarner en pratiquant le questionnement personnel : Quelle personne ai-je envie de devenir ? Quels sont mes rêves, mes talents et comment je les honore ? Qu’est ce qui me fait profondément vibrer ? Quelle journée type me ferai me lever tôt plein d’énergie et d’enthousiasme ? Je m’aime quand ….

Ces questionnements vous amèneront à identifier de quoi vous avez besoin.

LA POSTURE DE L’OBSERVATEUR NEUTRE ET COMPATISSANT

Photo de Rahma sur Amour Créateur

Enfin avec toutes ces étapes, le plus important à mon sens est de développer une posture interne qui nous permet de créer des conditions de stabilité et de paix propices pour naviguer et manifester notre réalité de manière consciente.

Le chaos de la transition est là ! présageant d’une grande transformation au niveau global et individuel. Ce processus nous amène INDUBITABLEMENT à voir et libérer les énergies obsolètes.

Nous allons probablement assister à l’effondrement de structures au niveau global fussent-elles des entreprises, des institutions ou autres. La même chose va se produire au niveau individuel dans la fin d’une relation, d’une carrière et l’évolution d’une configuration et situation personnelle.

Vouloir s’appuyer sur des attachements et des repères externes risque de nous rendre la tache difficile en ces temps de turbulences.

L’article « voyage en terre intérieure » de janvier 2020 décrit l’importance de bien se connaître afin de de prendre les commandes et naviguer dans l’œil du cyclone bien installé au centre de commandement de notre être intérieur.

La transition actuelle peut se faire de manière inconsciente et brutale via des expériences de vie intenses et challengeantes visant cette libération mais il est également possible de vivre cette transition de manière consciente, sereine et engagée.

En cela, la posture de l’observateur neutre et compatissant est incontournable dans tout processus de transformation et nous permet de nous recentrer à l’intérieur de soi et laisser les rênes à la sagesse de notre être véritable avec la coopération de tout notre écosystème.

Nous avons tous expérimenté cette posture au moins une fois. Par exemple dans une situation où nous nous retrouvons témoins d’un évènement ou une simple conversation pour lesquels nous n’avons aucun enjeu. Nous arrivons dans ces moments-là à percevoir avec justesse et recul ce qu’il se passe sur plusieurs plans avec neutralité car nous n’avons ni attente, ni peur, ni jugement.

En somme voir réellement ce que nous regardons.

L’observateur neutre et compatissant va nous permettre d’appréhender nos expériences avec équanimité et présence d’esprit en étant détachés de toutes attentes, sans jugement personnel ni préjugés, sans biais cognitifs notamment de confirmation, sans impulsions, sans déni, sans sur identification, sans culpabilité et avec recul et hauteur pour simplement accueillir ce qui est.

Cette posture peut grandement aider à dépolariser les situations (inférieur/supérieur, Victime/bourreau, etc.) et se positionner de manière neutre pour développer la capacité de poser des intentions et des actions cohérentes et constructives.

Du point de vue de notre fonctionnement biologique, notre conscience n’intervient dans notre quotidien qu’à hauteur de 5%. Notre fonctionnement est principalement pris en charge à 95% par notre subconscient. (Bruce Lipton).

C’est ce qui nous permets d’effectuer plusieurs tâches simultanément sans devoir s’y concentrer (conduire et parler). Notre organisme visant la conservation énergétique et l’efficacité va relayer au subconscient les tâches habituelles.

C’est également ce qui explique que nous puissions aller à l’encontre de résolutions prises de manière conscientes dans le cas où le subconscient contient des croyances profondément ancrées qui peuvent être en contradiction avec nos intentions conscientes.

La posture de l’observateur neutre va permettre de laisser émerger et explorer le contenu de notre subconscient et le reprogrammer pour nous permettre un meilleur alignement tout en développant notre capacité de réponse face aux expériences.

Une posture de neutralité ne signifie pas indifférence, passivité ou une absence de contenu fut il mental ou émotionnel. Il s’agit au contraire d’une posture active de détachement face à l’existence d’infinies potentialités qui permet de développer notre capacité de réponse (responsabilité) et notre souveraineté (autonomie et maturité)

Peu de place est accordée dans notre société actuelle à l’apprentissage de cette posture et sa grande importance.

Bien au contraire, nous sommes plutôt conditionnés à faire le contraire.

Quelques exemples :

  • Le stress permanent nous sort constamment du moment présent pour nous projeter dans le passé ou de probables futurs obscures… Nous poussant à être dans la précipitation ou l’hyper contrôle et nous coupant ainsi de notre guidance, notre créativité et la coopération naturelle de notre écosystème.
  • L’extraversion, l’agitation, le charisme et l’action sont valorisés au détriment de l’être et pourtant cela empêche la disponibilité mentale et émotionnelle nécessaire à une posture d’écoute et de maturité.
  • En réagissant sur le champ laissant libre cours à diverses pulsions et caprices : Nous avons en effet acquis la tendance popularisée à la gratification instantanée notamment par le consumérisme et l’habitude d’avoir tout à portée de notre smartphone immédiatement.
  • Ne pas prendre la pleine responsabilité de nos émotions et tenir l’autre pour responsable tout en se laissant aller à des transferts de blâme et des projections.
  • Nous sommes censés être toujours disponibles via nos smartphones jusque dans nos sphères privées.
  • De plus, si nous prenons en considération notre nature alchimique et énergétique via le champ électromagnétique émis par notre corps (cœur et cerveau entre autres), les stimulations extérieures sont permanentes. Nos organismes même en sommeil ainsi que nos perceptions sont constamment sollicités et perturbés par les rayonnements et ondes environnantes (fréquences radio, infrarouge, Bluetooth, wifi, GPS, musiques sur des fréquences dissonantes, etc )
  • La norme acquise de s’identifier à nos pensées, nos émotions ou notre comportement si ce n’est d’autres rôles et/ou étiquettes sociales et culturelles sans arriver à y mettre de la distance.
  • Une grande dépendance à notre mental et nos pensées.
  • Pour finir la méconnaissance de tous les mécanismes de protection de notre ego, de notre enfant intérieur et de nos parties blessées qui ont tendance à s’accrocher à des situations connues même les plus destructrices pour maintenir l’illusion d’un sentiment de sécurité.

L’enjeu de cette posture fait aussi parti d’un changement de paradigme essentiel qui nous fait passer d’une posture d’impuissance, réactive, impulsive et contrôlante à une posture souveraine, détachée et mature, consciente et responsable c’est-à-dire la capacité à donner une réponse choisie en conscience.

Cette posture d’observation, d’écoute et d’accueil nous permet de nous re découvrir et nous reconnecter avec nos différents aspects : corps physique, émotionnel, mental et spirituel/énergétique et en acquérir la pleine maitrise et garder son calme en toute circonstances.

Cette posture permet également de développer sa concentration et son écoute améliorant ainsi ses perceptions physiques et les perceptions plus intuitives/subtiles.

L’observateur neutre et compatissant s’avère par ailleurs être un excellent outil pour soutenir et traiter les charges émotionnelles de manière plus confortables et maitrisées.

POURQUOI COMPATISSANT ?

Cette posture n’est pas un exercice purement mental mais une mobilisation de tous nos sens et la pleine conscience du moment présent, parfaitement bien installé dans notre enveloppe corporelle, le véhicule de notre être véritable. Centré dans notre cœur, notre empathie et un mental apaisé.

Photo de Rahma sur Amour Créateur

La compassion est une vertue qui nous permet de rester connecté à soi et aux autres par notre cœur et notre empathie dans une perspective élevée, élargie et détachée. De ce point de vue, il devient plus aisé de discerner le caractère bénéfique ou aliénant de la situation ou de l’état observé.

Avoir conscience que nous sommes tous unis et interconnectés nous permet d’accéder à cette capacité originelle d’empathie et de compassion, même face à une personne mal intentionnée ou une situation inconfortable.

La compassion est un attribut divin d’amour inconditionnel qui permet de dépasser notre vision séparative du monde et percevoir la souffrance d’un être malgré toute la violence qu’il est susceptible d’exprimer.

La compassion ne constitue pas une forme de sacrifice où nous serions obligés de subir une quelconque maltraitance de la part des autres et ne nous dispense pas non plus de connaitre nos besoins et poser des limites saines.

L’égo apeuré, limité, blessé dont la seule préoccupation est de se sentir ok face à soi et aux autres ne peut pas appréhender la compassion dans son sens le plus profond et y superposera par sa nature polarisante supérieur/inférieur du jugement et de la culpabilité.

Pourtant ressentir de la compassion permet justement de dissoudre toute violence.

Ressentir la compassion est aussi un service que nous nous rendons en libérant notre cœur et notre champ personnel de toute haine ou énergie et émotions destructives.

Souvent l’agressivité cache des peurs et la compassion consiste à dépasser la division de premier plan pour discerner le tourment que l’autre expérimente.

Il va sans dire que ressentir de la compassion pour les autres, c’est d’abord apprendre à la ressentir pour soi et ainsi s’honorer dans les parties les plus vulnérables et blessées de notre être.

Un observateur neutre coupé de la compassion, de son cœur et de son corps émotionnel ne respecte pas l’intégrité multidimensionnelle de son être et rejette ce qui fait de nous un être humain : nos émotions et notre empathie c’est-à-dire notre capacité à ressentir de manière neutre et par résonance.

Les souffrances, les blessures et les traumas peuvent facilement amener une personne via les mécanismes de défense de l’égo à se couper de ses émotions comme un moyen légitime de se soulager de la douleur ressentie.

Néanmoins, cela ne règle en rien la problématique sur le long terme et bien au contraire ne fait que supprimer et comprimer les informations/émotions désagréables et inconfortables créant ainsi des sous personnalités et des blocages pouvant évoluer en maladie.

Tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime durablement.

L’épanouissement, le bien-être et dans certains cas la guérison consiste justement à traiter les émotions qui expriment la souffrance interne. Il s’agit bien de ressentis et non de concepts mentaux ou d’ordre rationnels.

L’observateur neutre et purement mental aura tendance à rester dans les aspects familiers et confortables de sa construction mentale, émettre des jugements et évoluer vers plus de déconnexion.

La pratique de cette posture demande au départ un engagement plein et une certaine discipline.

De plus, elle est atteinte plus aisément dans un état de conscience thêta de relaxation profonde et heureusement, la fréquence des ondes cérébrales peut être changées à volonté moyennant quelques techniques et activités très simples visant cet état : le yoga, la cohérence cardiaque, l’écriture, la méditation de pleine conscience, la prière, la sophrologie l’hypnose, etc.

Au début, nous pouvons nous retrouver à observer un mental et un corps physique très agité ainsi que des émotions vives.

Il est à noter qu’il est plus aisé d’atteindre cette posture quand nous sommes dans des émotions, vibrations hautes dites positives que des fréquences opposées.

En effet, aux prises de pulsions, impulsions et émotions négatives créant de l’agitation, il est nécessaire dans un premier temps de basculer dans la polarité positive grâce notamment à la respiration consciente, la cohérence cardiaque et le sentiment de gratitude par exemple.

LE HASARD N’EXISTE PAS

Notre tendance à vouloir tout contrôler peut nous rendre la tâche difficile car cette posture demande un certain lâcher prise mais avec la pratique, beaucoup de choses finissent par s’apaiser et cette posture s’avère très bénéfique et naturellement incarnée au quotidien.

Photo de Rahma Amour Créateur

Le lâcher prise nécessaire dans la posture de l’observateur neutre ne signifie pas être indifférent, se soumettre ou se résigner.

Au contraire, voir et accepter les choses telles qu’elles le sont sur le moment, permet de lâcher toute résistance ou déni pour retrouver la clarté nécessaire afin de trouver des solutions originales à une problématique, tout en cultivant une nouvelle posture optimiste.

Les circonstances dans lesquelles nous nous retrouvons ne sont jamais un hasard et plutôt que de rejeter toute responsabilité et se placer en victime, nous pouvons au contraire dans une situation problématique suivre ces 4 étapes :

  1. Respirer profondément en comptant jusqu’à 4 à l’inspiration, 4 en retenant votre souffle et jusqu’à 4 à nouveau à l’expiration
  2. Observer en dézoomant sur la situation.
  3. Discerner en vous focalisant sur votre cœur.
  4. Accepter la situation telle qu’elle est sur le moment dans une intention de résolution.

Par exemple :

Pendant plusieurs années et dans diverses situations, j’ai personnellement vécu différentes formes de tromperie et de trahison.

Chaque évènement venait me désespérer encore plus amenant son lot de colère, de tristesse, de découragement et d’amertume.

Je me plaçais alors systématiquement comme une victime vivant des choses injustes et promettant de ne plus jamais accorder ma confiance !

Il m’a fallu quelques expériences très douloureuses pour enfin déceler la présence d’un schéma récurrent dont le dénominateur commun était… moi !

Moyennant quelques outils et beaucoup d’observation, j’ai décidé de prendre mes responsabilités afin de trouver un moyen de vivre des situations plus harmonieuses.

A partir de là, mon regard sur toutes les situations a évolué et je pouvais désormais voir très clairement que j’avais accordé ma confiance à des personnes qui ne la méritait pas.

Non pas sur une base de jugement mais sur la base d’observation et de discernement.

Plusieurs signes avant-coureurs et très significatifs prouvaient que la confiance accordée serait inévitablement brisée.

Ce que je ne voyais pas auparavant paraissait dès lors très évident et me permettait d’entamer un travail de renforcement de la confiance en moi-même et de la guérison de la blessure de trahison.

Être dans une posture de contrôle suppose que nous sommes seuls et impuissants quand le lâcher prise invoque l’ouverture, l’accueil, une grande foi et une grande confiance en soi et en un champ infini d’amour et d’intelligence soutenant et divinement orchestré.

UN CHAMP INFINI DE POSSIBILITES

Cette posture évolue au fil d’une pratique assidue et donne accès à un champ infini de possibilités et de créativité.

En somme cette posture donne accès aux apprentissages suivants :

  • Découvrir son être véritable pour rassurer l’enfant intérieur et l’égo et stabiliser son état émotionnel.
  • Accepter les choses telles qu’elles sont pour y trouver le sens et une résolution dans la sérénité.
  • Ne rien prendre personnellement pour décrypter le sens de nos expériences.
  • Faire connaissance avec ce que nous sommes profondément sans jugement, déni ou culpabilité pour s’autoriser à évoluer.
  • Sortir des polarités mentales et émotionnelles supérieur/inférieur.
  • Dépasser la peur de l’inconnu et explorer les résistances au changement.
  • Vivre en conscience libérés des mécanismes de défenses automatiques de l’égo.
  • Court-circuiter toutes interférence extérieure.
  • Nettoyer son champ de toutes interférences ou attachements.
  • S’ouvrir à de nouveaux potentiels et des nouvelles méthodologies pour résoudre des problématiques.
  • Pratiquer la conservation énergétique et développer sa force intérieure et sa confiance en soi.
  • Développer une réelle sécurité intérieure en se reconnectant à son être véritable.
  • Développer souplesse, flexibilité et adaptabilité nécessaires à toute période de transition.
  • Faire preuve d’équanimité et de résilience.
  • Vivre en congruence avec notre propre rythme organique.
  • Vivre pleinement dans l’éternité du moment présent.
  • Renouer, célébrer et honorer notre sacralité dans une démarche altruiste coopérative et de partage.
Photo de Rahma Amour Créateur

Sur une note plus énergétique/quantique, l’expérimentation de l’observation neutre vient changer le déroulement de ce qui est observé (en référence à la réaction de la particule en physique quantique).

Pour cette raison, cette posture devient un outil de base très intéressant dans les processus de guérison des traumas sur lesquels je reviendrai prochainement.

Libérés de toutes les contraintes superposées sur notre être véritable, nous retrouvons notre capacité de réponse éclairée aux évènements que nous traversons dans la maitrise de notre consentement et nos intentions pour développer la cohérence dans tous les aspects de notre vie.

Nous pouvons mieux comprendre le sens des expériences que nous vivons, grâce à cette posture détachée qui permet de prendre de la hauteur et sortir des automatismes déclenchés par un évènement qui active une souffrance déjà existante en nous.

Ma pratique de l’observateur neutre m’a personnellement aidé dans mon processus de transformation, de guérison de traumas et de réconciliation avec moi-même, notamment à enlever de mon chemin de vie la tyrannie de l’ego et de la personnalité pour laisser la place à ma sagesse intérieure, mon être véritable, ma conscience supérieure et même à l’infini intelligence et Amour de notre Source Divine.

Ce qui était un exercice conscient est devenu un état naturel qui m’a fait prendre conscience que la posture de l’observateur neutre et compatissant est un attribut naturel de l’être humain organique et originel qui a été oublié.

Un état d’être pour apprendre à lâcher prise et laisser l’intelligence et l’amour infini de notre Source Divine agir à travers nous.

Faire face à ses peurs et ses blessures demande un grand courage mais un cœur ouvert, vivant et léger n’a pas de prix.

A partir de ma pratique personnelle et les enseignements que j’ai reçus, j’ai élaboré avec humilité et amour une méditation guidée pour aider qui le souhaite à se familiariser avec cette posture de l’observateur neutre et compatissant.

L’intention posée est de proposer un outil qui permet de découvrir et incarner pleinement notre être véritable organique, souverain et libre tout en nettoyant les superpositions inorganiques.

Cette méditation est en deux parties :

  1. Connexion au cœur pour créer des conditions de stabilité et de calme.
  2. Un traitement de nettoyage des superpositions artificielles et inorganiques.

Il est possible de faire uniquement la 1ère partie de connexion au cœur pour débuter et réserver la 2nde partie « traitement de nettoyage » pour un usage ultérieur.

Par ailleurs, vous retrouverez quelques affirmations dans la transcription que vous pouvez utiliser dans votre quotidien.

Cette méditation est vendue avec un mémo d’utilisation et sa transcription au prix de 12 euros.

Néanmoins, afin de la rendre disponible à un maximum de personnes en ces temps difficiles, je propose cet outil sur la base d’une participation financière libre et consciente d’un minimum de 4€

Cette méditation est téléchargeable ici :

Ressourcez vous

Gardons notre calme, respirons et observons pour manifester une réalité prospère et bénéfique de manière fluide et alignée.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Je vous remercie pour votre écoute et votre présence et je vous dis à bientôt.

Avec Compassion et Amour et en Unité.

Création d’un Espace Sacré

Comprendre et maîtriser les aspects de la conscience, autrement dit les aspects subtils et énergétiques de notre être, donne accès à des ressources qui dépassent les limites du paradigme mental.

Les outils de technologie de conscience permettent d’explorer et exploiter pleinement les différentes couches de notre multi-dimensionnalité révélant ainsi une source intarissable d’Intelligence, de Sagesse et de Créativité.

Les bénéfices de la méditation sur notre organisme et notre équilibre ne sont plus à prouver, et plus encore, cette technologie de conscience nous ouvre d’infinies potentialités à explorer au service de notre expansion et notre bien-être.

L’état méditatif implique de nombreuses structures cérébrales y compris les réseaux neuronaux cardiaques et intestinaux.

Cet état implique également l’intervention des neurones miroirs qui permettent l’acquisition rapide de nouveaux apprentissages et processus affectifs.

Cet état de conscience modifié induit un rythme cérébral particulièrement apaisé appelé Thêta.  Ce rythme cérébral est de faible fréquence de 4 à 7 Hertz et amplifie la capacité d’absorption, de dissociation et d’hyper suggestibilité.

Par effet d’intégration, de restructuration cellulaire et nerveuse et de résonnance vibratoire, il devient alors possible de manifester une réalité plus alignée et incarner pleinement notre être authentique et éternel.

Il est question ici d’énergie, de champs électromagnétiques, de fréquences, de vibrations qui impliquent la notion fondamentale de résonnance et d’harmonisation.

En ce sens, il paraît important que chacun puisse se diriger vers des outils en résonance et en harmonie avec son être.

L’objectif de la méditation « Espace Sacré » que je propose est de créer un endroit privé, paisible, sécurisé et sain que chacun peut concevoir à son image et avec ses propres règles.

Respirez

Cet espace sacré est conçu pour rester adaptable à volonté et évoluer en même temps que soi-même.

Bien que cette méditation soit guidée, chacun est l’architecte et le bâtisseur de son propre espace sacré.

Mon intention est de proposer un outil offrant à chacun une autre façon d’apprendre à :

  • Se reconnecter à son corps et se détendre.
  • S’ancrer fermement de manière interne afin de se renforcer.
  • Se découvrir, apprendre à s’aimer et s’exprimer pleinement.
  • Appréhender ses limitations d’un point de vue neutre.
  • Développer la posture de l’observateur neutre.
  • Se maîtriser.
  • Construire son propre sens de la sécurité.

L’intention posée à la création de cet espace sacré est qu’il soit placé sous l’autorité des lois naturelles soutenant la Vie,

Qu’il soit aligné à la Source Divine de toute Vie et qu’il vibre dans les fréquences de l’Amour inconditionnel, l’harmonie, la sagesse, la vitalité et la souveraineté.

Cette méditation dure 30 minutes et peut être pratiquée autant de fois que souhaité.

Après quelque temps de pratique, il n’est plus utile d’avoir recours à une méditation guidée pour se connecter à cet espace interne sacré.

Je pratique moi-même cette méditation depuis très longtemps.

Photo de Rahma Amour Créateur

Cet espace sacré s’est révélé être pour moi un moyen de trouver un refuge, apprendre à me connaître, m’accepter et me libérer, faire des sessions de soins, explorer des mémoires, me régénérer et entrer en contact avec ma guidance pour trouver des réponses à mes questions et prendre des décisions importantes.

J’espère que chacun puisse trouver avec ou sans méditation guidée un refuge en soi afin de se ressourcer, retrouver la connexion à son être éternel et authentique, libérer sa créativité et prendre conscience que tout est déjà là, en soi.

Pour finir, j’ajouterai que cette pratique est susceptible de vous inspirer à créer chez vous un espace à votre image et à votre goût en reproduisant ces conditions de bien-être et je ne peux que vous y encourager.

Je vous invite par ailleurs à rechercher le contact avec la nature et vous y attarder quand cela vous fait du bien en laissant tout votre être se mettre au diapason des fréquences ressourçantes de la nature.

Cette méditation ne se substitue aucunement à un traitement et/ou un avis fourni par un professionnel de santé. En cas de doute, demander un avis médical.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Avec Amour et Unité.

La méditation Espace Sacré est vendue avec un mémo d’utilisation et sa transcription. Elle est disponible en 2 versions (avec et sans musique).

Pour commander cliquez ici :

Je me ressource

Turbulences à l’horizon

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La crise dans tous ses états

Quand le moment vient d’entamer un processus de changement durable et un voyage en terre intérieure, il y a de fortes chances de se retrouver confrontés à des turbulences autant inconfortables et terribles à vivre, que profitables et salutaires.

Une dynamique de transformation induit forcément des phases de transition, empreintes de plus ou moins de chaos.

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Il est néanmoins possible d’apprendre à naviguer pendant ces périodes de crise sachant que notre stabilité dépendra de notre niveau de maîtrise personnelle ainsi que de la solidité de nos fondations et de notre ancrage.

Nous sommes tous familiers avec le phénomène de crise dans plusieurs domaines :

  • Crise économique, financière, sanitaire, écologique, politique, culturelle…
  • Crise identitaire notamment pendant l’adolescence, la quarantaine, le baby blues amenant son lot de crises relationnelles…
  • Crise de nerfs, crise de panique, de détoxification, de sevrage…
  • Crise spirituelle et existentielle, crise de conscience…

Un état de crise se définit par une situation provisoire de désordre, de tension, de manque, de confusion, de rupture et de déséquilibre pouvant comporter des risques et des menaces mais aussi des belles promesses.

Nous pourrions identifier ces états de crise à une forme d’effondrement de toutes nos certitudes face à nous-même et au monde.

Il parait important d’envisager des mesures et des solutions pour limiter les risques et les menaces en ces temps d’incertitudes et de vulnérabilités en commençant par en décrypter les causes.

Quel sens donner aux crises ?

Nous sommes en tant qu’espèce et à échelle planétaire confrontés à des crises parfois catastrophiques et douloureuses qui réveillent et créent en l’humanité des peurs et des traumatismes enfouis dans notre mémoire collective et au niveau cellulaire.

Des catastrophes et des scandales voient le jour et nous poussent dans nos retranchements pour se décider enfin à prendre nos responsabilités et nous remettre en question.

En réalité, si un seul d’entre nous est en crise, nous le serons tous, tôt ou tard.

Cela se vérifie et nous sommes aujourd’hui confrontés aux conséquences d’orientations ne soutenant pas la vie.

Des valeurs néfastes que nous avons adoptées dans notre quotidien via nos usages et nos conditionnements.

Les crises, si elles sont abordées avec une posture d’ouverture et dans une perspective élargie, peuvent être porteuses d’informations précieuses sur la situation.

Que la crise se déroule au niveau microscopique de notre vie, en tant qu’individu, ou au niveau macroscopique et universel en tant qu’espèce au sein d’un écosystème.

Le rapport Micro / Macro de ces crises nous permet de comprendre des logiques et des schémas identiques opérant à différentes échelles : au niveau interne de notre corps physique, mental, émotionnel et énergétique, au niveau de nos relations, de notre place dans la société, à l’intérieur de la société elle-même, au niveau planétaire lisible grâce aux indices météorologiques et électromagnétiques et pour aller encore plus loin au niveau galactique, universel et au-delà.

Malgré leur caractère chaotique, ces crises viennent souvent initier un changement indispensable car elles permettent de mettre en lumière l’obsolescence d’une situation qui doit laisser place à des nouvelles choses.

Nous pouvons aisément constater que les conditions à l’origine d’une crise donnent de nombreuses indications sur ce qui nécessite d’être dépassé et transmuté.

Ces crises représentent la fin d’un état d’être.

Elles dévoilent les limites atteintes, les dysfonctionnements, les distorsions, les incongruences et incohérences ainsi que tout dispositif ou fonctionnement ne soutenant pas une évolution organique, prospère et naturelle.

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Les crises qui nous poussent à prendre nos responsabilités tant individuelles que collectives sont par conséquent une opportunité de renouveau, de renaissance, de renforcement, de maturité et d’expansion.

Manifestations de crise

Nous pourrions évidemment anticiper ces états de crise et prévenir de nombreux dommages collatéraux.

Néanmoins, cela induit une démarche mature et volontaire d’écoute et de remise en question tout en possédant une pleine maîtrise de soi, une vision claire, holistique et à long terme de la situation et de nos ressources ainsi que des perspectives.

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Hélas, nous avons été longtemps coupés de l’héritage et la sagesse de notre espèce de savoir lire, comprendre, décrypter et apprendre des événements que nous vivons.

Une équipe médicale (holistique bien sûr…) au chevet de l’humanité discernerait facilement les maux dont nous sommes frappés en tant qu’espèce : syndrome de stress post traumatique, perte de notre mémoire ancestrale, fragmentation et division, perte de repères et de code moral, troubles de la personnalité, courtermisme, confusion et rigidité mentale, pulsions en tous genres à la poursuite de gratifications et de soulagements instantanés, consumérisme aigu, insatisfaction chronique, complaisance, stagnation, dichotomie, polarisation victime / bourreau, impuissance acquise, perte de foi, hyperactivité et surstimulation, addictions, égocentrisme, peur, fatigue, traumatismes et abus en tous genre.

Cette liste non exhaustive ne caractérise aucunement l’humanité originelle mais constitue des maux à soigner qui heureusement se guérissent, bien qu’ils s’exacerbent en temps de crise.

Ces problématiques nous privent de notre potentiel d’expansion inné, notre sagesse, notre lucidité, notre capacité d’aimer, notre pleine conscience, notre intuition et notre Unité qui nous permet de naviguer et évoluer ensemble dans la prospérité, l’entraide et la cohésion.

Nous n’avons pas vraiment appris à nous préparer à ces turbulences et les plans de sortie de crise élaborés en amont ne sont qu’un aveu : de la connaissance des failles du système ou la mise en lumière d’un agenda douteux.

Comme l’a dit Albert Einstein, aucun problème ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l’a engendré.

Quelques pistes de décryptages

Revenons sur le plan Micro d’une crise individuelle pour explorer quelques pistes de décryptages que chacun sera libre d’extrapoler sur un plan élargi.

Quelles sont finalement les conditions et outils pour retrouver la clarté dans ces états de confusion afin de naviguer sereinement et faire les bons choix ?

Comment tirer bénéfices de ces périodes ?

De quelles manières faire coopérer le système entier sous l’autorité et la sagesse de la conscience supérieure ?

Comment lâcher toutes résistances et peurs qui auraient pour effet d’accentuer l’inconfort et prolonger la crise en créant de plus en plus d’obstacles, de confusion, de fuites d’énergie et d’interférences ?

Ces crises viennent nous bousculer, nous meurtrir parfois et nous faire basculer dans la panique, le stress, l’agitation, la précipitation, la violence, la peur, la colère, l’impuissance et le désespoir.

Nous voilà donc en pleine crise !

Nous sommes activés et déclenchés dans nos peurs, nos blessures et nos frustrations les plus profondes.

Le plus souvent les conflits non résolus de notre enfant intérieur stockés dans notre physiologie font surface.

Notre système entier est en mode alerte, en souffrance et en dysfonctionnement.

La physiologie résultant de la peur change radicalement notre perception personnelle de la réalité et des personnes nous entourant.

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La peur ne nous permet plus de discerner la réalité de manière juste.

Tout est déformé et distordu, tout se brouille et le corps ayant mobilisé tout le système et ses ressources pour se battre, s’enfuir ou se figer n’est plus disponible pour les fonctions immunitaires, métaboliques et cognitives.

Par ailleurs si nous succombons à la panique, toutes nos peurs liées à la survie émergent et nous coupent de notre connexion au moment présent, à notre cœur et notre sagesse supérieure et rendent le monde qui nous entoure hostile.

Nous avons été conditionnés à agir, réagir, réfléchir, s’agiter, prendre des mesures !

Et pourtant, il est plus que jamais temps de cultiver le calme en priorité : respirer, ralentir, s’arrêter, s’isoler parfois, supprimer toute source d’agitation et de stress, s’ancrer solidement dans son corps physique et se recentrer en nos cœurs.

En effet, les émotions et sentiments négatifs n’ont pas besoin de se manifester en comportements destructeurs pour s’exprimer. Il ne s’agit pas non plus de les nier, les supprimer ou les réprimer.

La pratique de l’observateur neutre va permettre d’en être témoin avec compassion et bienveillance, d’accueillir ces énergies et en décrypter les causes racines.

Nous devons restés attentifs à ne pas surréagir à nos peurs relatives à la survie et relativiser tout en appliquant la pensée critique, le bon sens et utiliser nos ressources pour garder le calme et l’équilibre sur tous les plans.

Les émotions positives et créatrices comme l’appréciation, la gratitude, la compassion déclenchent une alchimie salutaire pour le fonctionnement optimal de notre être multidimensionnel.

Il est possible avec une simple décision de cultiver ces états d’être soutenant la clarté et l’équilibre entre autres.

Une fois ces conditions mises en place, une démarche active peut commencer afin de se mettre à l’écoute des besoins de nos différents corps et y répondre concrètement, se désidentifier des tensions afin de voir et gérer nos conflits internes non résolus et s’abandonner au processus de manière détendue.

La crise au service de la transformation

Dans la perspective d’une splendide métamorphose, cet inconfort représente en réalité une magnifique opportunité de laisser toutes ces limitations et lourdeurs circuler pour les libérer.

Quelle meilleure dynamique adopter en de telles circonstances si ce n’est une introspection à la recherche de son centre et d’un ancrage qui ne dépende plus d’un élément extérieur susceptible de nous fragiliser.

Il n’est pas trop tard pour apprendre à :

  • Être flexible, détendu et adaptable.
  • Se concentrer sur le moment présent et s’assurer de sa pleine disponibilité émotionnelle et mentale.
  • Réintégrer la notion d’équilibre notamment dans les polarités, les cycles et les flux.
  • Cultiver l’ouverture d’esprit pour élargir ses perspectives.
  • ETRE avant de FAIRE.

Une crise est une opportunité pour faire un bilan et non de s’agiter ou prendre des décisions hâtives motivées par la peur de l’inconnu.

Ces crises permettent dans un second temps, d’observer nos croyances profondes, nos schémas de pensées, des boucles récurrentes, nos biais cognitifs, en résumé, découvrir la structuration de notre système nerveux pour ainsi le reconfigurer.

Par ailleurs, très souvent les états de crise nous obligent à :

  • Aller chercher des ressources jusque-là inexplorées.
  • Mobiliser une énergie inexploitée.
  • Découvrir une force insoupçonnée.
  • Créer des nouvelles relations solidaires.
  • Libérer des idées et des solutions créatives.
  • Révéler des talents et
  • Nous obliger à nous positionner fermement du côté de la vie tout en s’allégeant et en se renforçant.

J’ai personnellement vécu une transition importante qui a débutée en 2014 en pleine reconversion professionnelle et crise de la quarantaine.

Tout ce qui constituait mon sentiment de sécurité à disparu en quelques mois : mari, maison, économies, poste de cadre, amis, mon image et tous mes repères.

Un profond et intense processus de démantèlement et de lâcher prise s’est opéré pendant 3 ans, non sans inconfort et quelques résistances, tout en apprenant à accepter ma condition temporaire de maman solo nomade avant de retrouver ma souveraineté.

C’est en apprenant à me libérer de tout jugement sur la situation et sur moi-même que j’ai pu comprendre et accepter que personne n’était à blâmer, qu’il n’y avait pas de fautes mais seulement un besoin de renouveau et d’évolution face à un constat de stagnation et un besoin profond d’être authentique.

L’étape de ma vie précédant cette transition était à ce moment-là en alignement avec mes aspirations ainsi que l’image que j’avais de moi-même et du bonheur.

J’ai pu rapidement ressentir de la gratitude en lieu et place du ressentiment éprouvé au début de la crise.  Une forme de réconciliation sur plusieurs plans a pu s’opérer me permettant ainsi de commencer à m’autodéterminer.

Cette crise a amenée quelques questionnements qui m’ont permis de comprendre ce qui m’a conduit à ce point de rupture et les aspects que j’avais besoin de guérir et changer :

  • Quels éléments dans ma vie nécessite d’être simplifié, nettoyé, stabilisé ?
  • Quelles parties de moi-même se trouvent en souffrance ?
  • Que souhaite réellement mon cœur, mon âme ?
  • Où se place mon attention et mon énergie ?
  • Où dans ma vie je peux retrouver mon intégrité ?
  • Où repose mon sens de la sécurité ? Mes revenus, ma santé, mes relations, mon statut ?
  • En quels domaines ne suis-je pas autonome ?
  • Qu’est ce qui résonne avec mon être éternel et authentique ?
  • Qu’est ce qui me ressource, me renforce et me réénergétise ?

Transmutation de la crise

Aujourd’hui, je vis la vie paisible, congruente et alignée à mes valeurs à laquelle j’aspirais profondément et je comprends avec le recul que cette crise a été parfaitement orchestrée par mon être éternel, ma conscience supérieure pour opérer le grand shift dont j’avais tant besoin.

Mon égo et mon enfant intérieur en ont été terrorisés et ce n’est qu’en apprenant à me connaître, m’écouter, me faire confiance, m’aimer que le processus s’est rapidement transformé en une aventure merveilleuse dans laquelle je continue d’apprendre et d’évoluer.

Je n’ai finalement rien perdu et au contraire tout gagné.

Je me suis libérée de choses non alignées voire toxiques pour construire une vie qui a du sens.

J’ai appris à discerner.

Discerner mes failles pour les renforcer, mes blessures pour les guérir, mes peurs pour les transcender, ma force pour me protéger, mes ressources pour les exploiter, mon Amour pour le diffuser.

Pour être en capacité d’utiliser pleinement son potentiel il parait donc sage de commencer par l’explorer.

Je nous invite à construire et solidifier des fondations saines en se reconnectant à son corps et créer petit à petit son Sanctuaire intérieur dans lequel nous nous sentons invincibles, protégés, soutenus et prêt à faire face à nos défis et rayonner de cette paix dont nous avons tous besoin actuellement.

Se recentrer en nos cœurs tout en développant des limite saines et fermes.

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Vous trouverez dans la rubrique « mes prestations », un certain nombre d’outils ajoutés progressivement qui ont pour objectifs d’aider quiconque a besoin de mettre en place les conditions optimales pour naviguer de manière aisée et autonome un processus de transformation durable.

D’autres outils de ce type (sophrologie, méditation, hypnose, cohérence cardiaque etc.) existent. N’hésitez pas à vous les procurer par ailleurs en les soumettant à votre discernement et en faisant confiance à vos ressentis.

Et si toutes ces crises ou cette grande mutation que nous traversons ensemble servaient à comprendre la cohérence de certaines valeurs éthiques saines représentatives de l’Humanité originelle qui ont été oubliées, perdues, diluées et qui représentent les clés principales pour naviguer le cheminement naturel d’une évolution organique ?

Et si nous changions de perspective au niveau individuel, ne serait-ce pas répercuté à des échelles plus larges ?

Vous l’aurez compris, il s’agit là d’un engagement et d’un travail soutenu, difficile parfois et long mais nous méritons l’intégrité et le bonheur d’incarner notre être éternel et notre magnifique humanité originelle.

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Je termine en laissant mon cœur exprimer et adresser une prière à toute l’humanité et à chaque être humain en souffrance :

  • Puissions-nous recevoir l’énergie vitale et les bénédictions dont nous avons besoin pour retrouver la voie de l’Amour, de la sérénité, de l’Unité et du pardon.
  • Que la clarté, la vérité et la transparence puissent être appliquées à toutes les situations pour sortir de la confusion et ainsi honorer la Vie.
  • Puissions-nous trouver la foi, la force et l’endurance pour mener à terme notre cheminement vers la paix et la libération.
  • Puissions-nous tous être guidés vers une santé physique, mentale et émotionnelle améliorée, libérés de nos fardeaux et incarnant notre plus belle expression.
  • Puisse chacun trouver le réconfort dans la vibration de l’Amour inconditionnel et sa connexion à sa véritable identité divine et éternelle.
  • Puissions-nous ensemble reconstruire un monde où règne la révérence pour la Vie.

En accord pour le plus grand bien de tous, je prie pour que des miracles nous soient offerts dans la lumière de l’Amour et l’harmonie.

Merci.

Attachons nos ceintures, gardons notre calme et restons attentifs aux cadeaux qui nous attendent.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Avec Gratitude, Compassion, Amour et Unité.

Voyage en Terre Intérieure

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« Qui suis-je ? »

Cette simple question qualifiée d’existentielle, métaphysique ou encore philosophique que l’humanité entière se pose individuellement et collectivement depuis toujours, a généré une quantité pléthorique d’informations et de disciplines.

Nombreuses tentatives de réponse adoptent différentes motivations, perspectives et approches et ont donné naissance à des phénomènes d’une diversité incroyable.

Des œuvres artistiques et littéraires, des philosophies, des dogmes, des sujets de recherches, des disciplines, des spécialités médicales et para médicales, des modélisations artificielles et inorganiques, des statistiques et bases de données marketing gigantesques, des pratiques ésotériques, des débats, des enseignements hérités d’anciennes civilisations, des thérapies, des retraites spirituelles, des voyages méditatifs et bien d’autres.

Que personne ne s’attende à trouver ici une réponse à cette question…

Pour la simple et bonne raison que chacun est souverain en sa terre intérieure.

La carte n’est pas le territoire

A l’instar d’un terrain dont nous serions propriétaire, il parait évident de bien connaître son territoire, ses délimitations, la protection de ses frontières, ses attributs, son fonctionnement, les accès, les flux, son usage et sa raison d’être.

Pourtant, il s’avère souvent que nous n’ayons qu’une connaissance limitée de la carte de notre territoire, c’est-à-dire la représentation qui en est faîte, par nous même ou par notre environnement et restons ainsi ignorants de la réalité du terrain.

Le territoire représentant ici l’être authentique et la carte l’être construit, la personnalité ou l’égo.

Néanmoins, il me tient à cœur de partager quelques clés de compréhension qui m’ont aidée dans mon parcours personnel de transformation durable.

Mon intention n’est pas de dénoncer les autres approches mais de présenter le fruit de mon expérience sachant que toute approche évolue en même temps que notre conscience grâce aux découvertes que nous faisons.

Quelques notions pourraient venir bousculer et mettre en lumière les limites de l’approche conventionnelle « linéaire », « finie », « exclusivement physique ou mentale », « figée » et « fragmentée ».

Ma perspective est donc spiralique c’est-à-dire à la fois cyclique et évolutive, infinie, multidimensionnelle et systémique.

La connaissance de soi pour une transformation durable

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Nous ne pouvons pas changer ce que nous ne connaissons pas et tout changement commence à l’intérieur de soi.

Le changement commence par la prise de conscience de ce qui existe en l’instant et par l’acceptation de ladite situation en évitant les pièges du déni, du blâme, de la victimisation, du jugement, des biais cognitifs et de la culpabilité.

En réalité il est impératif de choisir entre : se culpabiliser, se juger, douter, se mentir, se complaire ET apprendre et évoluer. Ces deux postures sont diamétralement opposées.

Les mécanismes de défense, de survie et de protection de l’égo bien qu’ils constituent une aide pour l’enfant qui se sent vulnérable et en insécurité, deviennent rapidement une barrière à l’apprentissage et l’expansion de conscience qui nécessitent : observation, acceptation, bienveillance, souplesse, neutralité, patience, prise de responsabilités et bien sûr une posture volontaire.

Les rouages de l’identité

Nous avons tous un sens de notre identité qui varie en fonction de différents aspects et qui vont influencer notre comportement et nos expériences.

Cela va de notre culture, jusqu’à nos rôles et identifications en tant que citoyen dans la société, en passant par l’image que nous avons de nous-même ou encore des différentes projections.

Le processus de construction identitaire commence bien en amont de notre naissance et se poursuit avec les influences de l’inconscient archetypal et collectif de l’humanité, notre environnement, notre patrimoine génétique et ancestral, nos expériences heureuses et traumatiques ainsi que leurs impacts.

Pouvons-nous nous définir en tant qu’individu par des éléments comme les attributs de notre corps physique, notre style vestimentaire, nos pensées, nos émotions, notre métier, notre statut ou catégorie socio-professionnelle, notre rôle de parent, de conjoint(e), nos compétences, nos diplômes ?

Que dire des schémas inconscients un peu plus subtils qui viennent influencer nos décisions ? Nos sous-personnalités ? Nos blessures ? Nos peurs ? Nos attachements ?

Chacun d’entre nous est un système à part entière qui évolue en fonction de ses objectifs et qui se définit par tout ce qui le compose ainsi que l’équilibre énergétiques des flux entrants et sortants.

Connaître son système, c’est en identifier sa structure et son architecture multidimensionnelle (physique, émotionnelle, mentale et énergétique) et en appréhender son fonctionnement.

C’est l’opportunité de découvrir quelles sont nos croyances, nos valeurs, nos besoins, nos limites, nos parasitages, nos blessures, nos ressources, notre but, nos potentiels, ce qui nous anime profondément et tout ce qui émane de notre sagesse profonde.

Il s’agit également de savoir exactement quelles sont nos intentions, où nous plaçons notre consentement et sous quelle autorité nous nous plaçons par le biais de nos pensées et notre comportement.

L’Amour de Soi pour l’autonomie et la souveraineté

Nous méritons tous d’être autonome et je dirai plus, nous sommes conçus pour être pleinement autonome et auto-sourcé.

C’est-à-dire avoir la capacité de se sentir digne d’Amour, d’estime et de respect. Le ressentir profondément et l’incarner dans son quotidien en témoignant à soi-même cette révérence.

La souveraineté c’est également la capacité de s’épanouir pleinement en ayant des projets qui nous tiennent à cœur et qui ont un sens profond et ainsi se donner toutes les chances de les réaliser.

Apprendre à développer une écologie saine de notre système en apprenant à créer soi-même sa propre échelle de bonheur et en maîtriser le curseur de manière consciente.

Rapport à soi et rapport aux autres

L’autonomie et la souveraineté permettent par ailleurs de construire des relations durables et épanouies dans l’Amour inconditionnel, la cocréation, le respect et l’entraide.

La souveraineté constitue également une réelle libération de l’influence des éléments extérieurs fluctuants.

En effet, nous restons vulnérables quand nous sommes soumis aux événements, manipulations, jugements, projections et attaques qui viennent déclencher en nous des réactions en chaîne débouchant sur une alchimie et des comportements contre-productifs.

Se connaître permet d’identifier nos aspects vulnérables afin de les prendre en charge avec douceur et bienveillance pour les renforcer, en tirer tous les bénéfices et cultiver l’équanimité en toutes circonstances.

Cela permet de désactiver tout élément déclencheur généré par les autres de manière consciente ou inconsciente.

L’autre n’étant qu’un autre moi soumis aux mêmes enjeux où la relation permet, entre autres, des miroirs justes et bénéfiques à ceux qui souhaitent voir, comprendre et évoluer.

Développer une relation intime de confiance avec soi-même, c’est construire des fondations solides pour naviguer aisément tous les aspects de notre vie et sortir d’une architecture de victimisation, de conflits et de division pour recueillir les pépites de toutes nos expériences.

Tout ce que nous sommes en capacité de développer dans notre relation à nous même, devient par extension profitable à tout notre entourage et bien plus.

Ce que je ne suis pas

Pour enfin commencer à découvrir qui je suis, il m’a fallu commencer par identifier ce que je ne suis pas et le démanteler.

Autrement dit désapprendre, guérir les aspects blessés et opérer une rééducation de quelques mauvaises habitudes pour voir de nouvelles perspectives s’offrir à moi.

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Depuis notre tendre enfance et au fil des années, nous avons hélas tous hérités de filtres qui nous empêchent d’appréhender la vie de manière juste et neutre sans distorsions, sans sur-identifications ou la fâcheuse habitude de prendre systématiquement les choses de manière personnelle.

L’évolution et la connaissance de soi consistent en réalité, non pas à intégrer des nouvelles choses, mais plutôt à se délester de nombreux fardeaux.

Je remarque au fil de mes accompagnements que nous avons été conditionnés à avoir peur de plonger à l’intérieur de soi, craignant d’y trouver un monstre tout en étant terrorisés par l’intensité de nos propres émotions.

Ces conditionnements nous empêchent de nous reconnecter à notre être profond et authentique qui est en réalité rayonnant et magnifique comme peut l’être un bébé ou un jeune enfant dans son naturel enjoué et spontané.

Se sentir légitime

Nous avons le droit naturel inné d’être le propriétaire légitime de nous-même et le maître exclusif de notre vie, notre corps, notre mental et notre esprit.

Je nous invite à commencer ce voyage en terre intérieure qui réserve des surprises et de beaux cadeaux.

C’est un voyage qui ne se termine pas vraiment et qui continue dans la co-créativité et la capacité de s’auto-déterminer.

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Ce voyage permet d’accéder à l’équilibre, la santé parfaite, l’autonomie, la liberté, l’épanouissement, l’intégrité, l’équilibre, l’authenticité, la congruence, la sérénité, la confiance, la créativité et l’ouverture d’esprit.

Plus nous sommes intègres et épanouis et plus nous sommes en capacité d’identifier que ce que nous avons crée en tant qu’espèce humaine est incongruent, limité, inadéquat et destructeur.

Imaginons si chaque être humain pouvait accéder à cela et toutes les perspectives de cocréation qui émergeraient.

Sommes-nous prêts à incarner la posture de l’observateur neutre et compatissant ?

Tel un aventurier, un chercheur impartial, ouvert et neutre cherchant sa propre vérité et non ce qui vient confirmer une illusion de sécurité ?

Accepter qu’il n’y à pas de hasard dans nos expériences et nos relations mais seulement des opportunités d’apprentissage ?

Sommes-nous prêts à accepter de désapprendre ?

Accepter de voir que les comportements et réactions récurrents ne font finalement que générer les mêmes résultats pour ainsi se donner une chance de tester des alternatives ?

Pour commencer

La question identitaire est bien un sujet vaste et j’aurai plaisir de développer prochainement un peu plus en détails les nombreuses notions présentées ici de manière succincte.

Pour commencer, je nous propose de renforcer ou nous entraîner à l’observation de notre système tout en cultivant le calme et la sérénité indispensable à la stabilité et la navigation du système.

Quand un seul élément de notre système se modifie vers plus de cohérence, l’ensemble du système ainsi que les systèmes voisins en bénéficient.

A chaque fois que nous remplaçons une pensée négative par une pensée constructive, notre système nerveux central se réajuste et crée des nouvelles possibilités d’apprentissage et de créativité.

A chaque fois que nous prenons le temps d’évacuer une tension ou un stress physique, mental ou émotionnel, nous changeons la réponse hormonale et par conséquent la chimie de notre corps de manière positive.

Cela est valable en sens inverse également quand certaines pensées, émotions, croyances ou stress viennent perturber l’ensemble du système et générer des dysfonctionnements, des déséquilibres, des blocages, des tensions et des dégâts.

Cela annonce de belles perspectives dans tout projet de transformation durable.

Et vous ?

Votre être authentique s’exprime t’il pleinement et de manière confortable ?

Vous pouvez commencer à noter les écarts qui existent entre ce que vous êtes profondément et ce que vous montrez de vous-même.

Notez au passage ce qui vient empêcher une relation harmonieuse et en paix avec vous-même.

La connaissance de soi est une récupération de notre pouvoir personnel et notre souveraineté car elle permet de construire une vraie sécurité intérieure et un solide ancrage interne.

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Une vraie collaboration du système entier peut alors commencer.

La moindre résistance dans ce que nous décidons de faire ou dire nous donne des indications sur l’alignement à notre être authentique.

Se vivre et s’expérimenter

A la question « qui suis-je ? », nul autre que soi-même ne peut réellement y apporter une réponse si elle n’est pas expérimentée, considérant que la réponse ne peut être ni figée, ni formulée par des mots.

La réponse se cache en nous, au travers de nos expériences, nos intentions et ce que nous avons dans notre cœur.

Pour y accéder, il est nécessaire de se voir, s’observer, se ressentir et s’expérimenter dans tous nos aspects.

Cherchons la réponse et restons ouvert et attentif.

En route pour notre droit naturel et inné à nous auto-déterminer, nous auto-réaliser, à être sain, épanoui, intègre et libre.

Bon voyage en terre intérieure et infinie.

Dans tous les cas, ne prenez que ce qui fait sens et profite à votre évolution tout en laissant aller le reste.

Avec Amour et Unité.